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Commentaires - Formule 1: François Cevert, inoubliable (livre-hommage)

Pierre-Olivier Marie

Formule 1: François Cevert, inoubliable (livre-hommage)

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Cela n'intéressera personne, mais j'avais un poster de François Cevert dans ma chambre quand j'étais petit.

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François, tu peux y aller... François! Ohh, tu peux y aller... FRANÇOIS, C'EST VERT!

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Cela n'intéresserra personne mais j'avais un poster ELF de François Cevert dans ma chambre étant enfant,,plus quelques autres (Jacky Ickx, Pescarolo, Hill père...):bien:

François c'était le BG de l'époque :bien:

Par

En réponse à Jacques Coeur

Cela n'intéressera personne, mais j'avais un poster de François Cevert dans ma chambre quand j'étais petit.

   

Ben tu vois, ça a intéressé Papamadit... :dodo:

Par

En réponse à roc et gravillon

Ben tu vois, ça a intéressé Papamadit... :dodo:

   

Toujours aussi peu inspiré et intéressant :langue:

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Par

Un pilote qui est parti de pas grand chose, sa compagne et sa soeur l'ont aidé financièrement à ses débuts ce qui lui a permis de réunir un peu d'argent pour participer au Volant Shell, concours de détection de pilotes ce qui lui a permis d'arriver à une certaine notoriété.

Que ce soit au volant d'une F1, d'une Matra aux 24H, d'une Alpine berlinette voire d'une CAPRI 2600RS, il m'a beaucoup étonné par son habileté en pilotage.

Je découvrais le sport auto à l'époque , c'est ce qui m'a amener à rouler en Capri capricieuse d'ailleurs.Des souvenirs...

Son charme aussi, les filles achetaient les revues de sport auto (et il y en avait!) pour découper ses photos!

Rigolez, rigolez bien mais pour beaucoup l'auto ça motivait à l'époque.

Vous pouvez toujours regarder ce que c'est devenu aujourd'hui! (Non ce n'était pas mieux avant mais c'était bien autre chose!):bah:

Par

En réponse à Jacques Coeur

Cela n'intéressera personne, mais j'avais un poster de François Cevert dans ma chambre quand j'étais petit.

   

Dans celle de ma soeur aussi.

C'est peut être aussi ça qui ramenait des filles en course de côte ou aux 24H!

Par

En réponse à integralhf

Cela n'intéresserra personne mais j'avais un poster ELF de François Cevert dans ma chambre étant enfant,,plus quelques autres (Jacky Ickx, Pescarolo, Hill père...):bien:

François c'était le BG de l'époque :bien:

   

J'ai connu aussi. Ton post m'a encouragé à en parler aussi!(certains ici vont nous railler en nous conseillant de créer une amicale...)

Par

La grande époque de la F1.

Ces pilotes avaient ce qui manque cruellement aux bouffons actuels, robots milliardaires décérébrés : le PANACHE !!

Contrairement à un Verstappen ou à un Hamilton qui ont un charisme de lavabo et font autant rêver que Jean Castex, cette génération avait une vie de héros.

Par

malheureusement une histoire très ancienne qui ne parlera pas à grand monde, même ici, car on parle là de la génération des 80'ans maintenant..

mais l'hommage est évidemment respectable, juste étonnant de le faire si tardivement..

Par

En réponse à franpir21

La grande époque de la F1.

Ces pilotes avaient ce qui manque cruellement aux bouffons actuels, robots milliardaires décérébrés : le PANACHE !!

Contrairement à un Verstappen ou à un Hamilton qui ont un charisme de lavabo et font autant rêver que Jean Castex, cette génération avait une vie de héros.

   

Pas connu cette époque car trop petit. Mais en regardant des reportages anciens ou des rétrospectives, on se doute bien que c'était autre chose niveau passion. Risques aussi avec pas mal de morts chaque année de championnat !

Je ne suis pas fan de F1 ni de sport auto mais je me rappelle bien avoir été intéressé à une époque par les rallyes, dans les 80' et le GP de Monaco en F1.

Je n'ai pas persisté maintenant. Déjà, beaucoup moins diffusé en TV ( l'auto, c'est maaaaal, m'voyeeeez) et avec moins d'enjeux visibles, le tout contrôlé par des informaticiens.

Le top chiant que j'ai trouvé étant les courses d'aspirateurs voltés. j'ai décroché totalement très vite. Je ne sais même pas si ça existe encore. DS automobiles s'était d'ailleurs investit là dedans....une marque de visionnaires.:biggrin:

Par

A cette époque il n' y avait pas une saison qui ne se terminait pas sans un mort au moins sur le terrain .

Par

Rien empêche aux gens de se cultiver.

Le monde du football le font très bien, comme Juste Fontaine qui a marqué 13 buts en une seule coupe du monde en 1958 un record.

Le monde auto reste plus élitiste.

Par

En réponse à toyotaquifaitpasdebruit

Pas connu cette époque car trop petit. Mais en regardant des reportages anciens ou des rétrospectives, on se doute bien que c'était autre chose niveau passion. Risques aussi avec pas mal de morts chaque année de championnat !

Je ne suis pas fan de F1 ni de sport auto mais je me rappelle bien avoir été intéressé à une époque par les rallyes, dans les 80' et le GP de Monaco en F1.

Je n'ai pas persisté maintenant. Déjà, beaucoup moins diffusé en TV ( l'auto, c'est maaaaal, m'voyeeeez) et avec moins d'enjeux visibles, le tout contrôlé par des informaticiens.

Le top chiant que j'ai trouvé étant les courses d'aspirateurs voltés. j'ai décroché totalement très vite. Je ne sais même pas si ça existe encore. DS automobiles s'était d'ailleurs investit là dedans....une marque de visionnaires.:biggrin:

   

Le risque faisait partie intégrante de la course automobile.

Les pilotes le savaient et l'acceptaient, jusqu'à un certain point évidemment.

Mais ils savaient tous qu'en prenant le départ d'une course, ils avaient une forte probabilité de finir carbonisé dans des voitures qui étaient des cercueils roulants.

C'était pour ceux qui en acceptait le prix, une façon de vivre plus fort, plus vite et plus intensément que le vulgum pecus.

C'était ce risque qui, justement, accentuait leur passion pour ce métier et leur mental exceptionnel.

Quand on est capable de défier la mort, la vie n'en est que plus intense.

Notre civilisation occidentale moderne qui a fait de l'être humain un mollusque nourri aux aides sociales, aux réseaux sociaux et à la peur de tout même de la grippe et des accidents de la route, est évidemment à des années lumière de cette conception de l'existence.

Si on considère la quantité d'antidépresseurs (la France est le champion d'Europe de benzodiazépines consommés) et le niveau d'anxiété généralisé de nos contemporains, je ne suis pas sûr que notre époque ultra protectrice, hygiéniste, puritaine et qui veut protéger à tout prix soit un progrès si considérable...

Par

Le summum du néant étant évidemment les courses de Formule E, rassemblement d'aspirateurs Moulinex et de pilotes de seconde zone, sur un circuit aussi passionnant qu'une piste de karting et excitant qu'un formulaire Cerfa.

Par

En réponse à franpir21

Le risque faisait partie intégrante de la course automobile.

Les pilotes le savaient et l'acceptaient, jusqu'à un certain point évidemment.

Mais ils savaient tous qu'en prenant le départ d'une course, ils avaient une forte probabilité de finir carbonisé dans des voitures qui étaient des cercueils roulants.

C'était pour ceux qui en acceptait le prix, une façon de vivre plus fort, plus vite et plus intensément que le vulgum pecus.

C'était ce risque qui, justement, accentuait leur passion pour ce métier et leur mental exceptionnel.

Quand on est capable de défier la mort, la vie n'en est que plus intense.

Notre civilisation occidentale moderne qui a fait de l'être humain un mollusque nourri aux aides sociales, aux réseaux sociaux et à la peur de tout même de la grippe et des accidents de la route, est évidemment à des années lumière de cette conception de l'existence.

Si on considère la quantité d'antidépresseurs (la France est le champion d'Europe de benzodiazépines consommés) et le niveau d'anxiété généralisé de nos contemporains, je ne suis pas sûr que notre époque ultra protectrice, hygiéniste, puritaine et qui veut protéger à tout prix soit un progrès si considérable...

   

Bon résumé . :oui:

Par

En réponse à franpir21

Le summum du néant étant évidemment les courses de Formule E, rassemblement d'aspirateurs Moulinex et de pilotes de seconde zone, sur un circuit aussi passionnant qu'une piste de karting et excitant qu'un formulaire Cerfa.

   

:lol::lol::lol:

C'est tout à fait ça.

Par

Dans vouloir être lechant mais seulement réaliste...Pas grand monde ne se souviens de ce pilote.

Déjà il était loin d'être un top pilote en position de gagner un championnat du monde.

Pour rappel s'il gagne sa première course. et seule course....en F1 en 1971, lorsqu'il décédé tragiquement 2 ans plus tard il n'en a pas gagner une autre ...

Du coup son souvenir est loin d'être vivace pour le commun des mortels.

Je ne dénigre ni l'homme, ni le pilote. Qu'on ne se méprenez pas. Mais voilà, le temps fait son œuvre et si vous demandez même à un passionné de F1 qui sont les 14 pilotes français qui ont remporté au moi s 1 grand-prix, pas sur qu'ils sachent tous les citer.

En tout cas pas moi....mais je ne me considère pas comme un passionné.

Mais que l'homme s'appelle Villeneuve, Senna ou n'importe qui, mourir lors de la pratique de son sport est une tragédie.

Et ceux qui prônent des règles moins strictes en F1 sous prétexte de "spectacle" avec des crash ne sont que des imbéciles.

Par

Je me souviens de ce pilote, triste époque où le monde choc, la voiture prenait feu. :bah:

Par

En réponse à franpir21

Le risque faisait partie intégrante de la course automobile.

Les pilotes le savaient et l'acceptaient, jusqu'à un certain point évidemment.

Mais ils savaient tous qu'en prenant le départ d'une course, ils avaient une forte probabilité de finir carbonisé dans des voitures qui étaient des cercueils roulants.

C'était pour ceux qui en acceptait le prix, une façon de vivre plus fort, plus vite et plus intensément que le vulgum pecus.

C'était ce risque qui, justement, accentuait leur passion pour ce métier et leur mental exceptionnel.

Quand on est capable de défier la mort, la vie n'en est que plus intense.

Notre civilisation occidentale moderne qui a fait de l'être humain un mollusque nourri aux aides sociales, aux réseaux sociaux et à la peur de tout même de la grippe et des accidents de la route, est évidemment à des années lumière de cette conception de l'existence.

Si on considère la quantité d'antidépresseurs (la France est le champion d'Europe de benzodiazépines consommés) et le niveau d'anxiété généralisé de nos contemporains, je ne suis pas sûr que notre époque ultra protectrice, hygiéniste, puritaine et qui veut protéger à tout prix soit un progrès si considérable...

   

C'etait le bon temps, les pilotes roulaient dans des cercueils ambulants .

Il y avait 16 000 morts sur les routes en France contre 3 500 aujourd'hui.

Combien de familles marquées a jamais ?

Par

En réponse à franpir21

La grande époque de la F1.

Ces pilotes avaient ce qui manque cruellement aux bouffons actuels, robots milliardaires décérébrés : le PANACHE !!

Contrairement à un Verstappen ou à un Hamilton qui ont un charisme de lavabo et font autant rêver que Jean Castex, cette génération avait une vie de héros.

   

La tu raconte n’ importe quoi, les pilotes d’aujourd'hui si ils en avaient le droit feraient exactement la même chose que François Cevert.

La F1 d’aujourd'hui est aseptisé, pas le droit de faire si ou ça, il faut que tu te dises que les pilotes n’y sont pour rien c’est juste le règlement. :bah:

Par

En réponse à Fordthemust

La tu raconte n’ importe quoi, les pilotes d’aujourd'hui si ils en avaient le droit feraient exactement la même chose que François Cevert.

La F1 d’aujourd'hui est aseptisé, pas le droit de faire si ou ça, il faut que tu te dises que les pilotes n’y sont pour rien c’est juste le règlement. :bah:

   

Exactement .

 

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