Commentaires - Déjà une petite remise sur le nouveau Jeep Compass

40 000 du pure tech micro hybridé!! avec 145 cv..!

c'est encore 10 000 de trop facile!

vu la fiabilité legendaire du 3 pattes stellantis!!

Ah, la grande braderie Stellantis… ou l’art de faire du neuf avec du vieux, du flou avec du flambe, et du mondial avec du local au rabais. plateforme modulaire amortie jusqu’à l’os, badge engineering à la chaîne, storytelling marketing façon “grand cru” pour un cubi de 2 litres, et une politique SAV qui ferait passer les queues de la préfecture pour un modèle d’efficacité.

Entre la Citroën C3 indienne vendue comme le nouveau Graal accessible, la DS qui rêve de Versailles avec des assemblages parfois dignes de Playmobil, et la Jeep Avenger qui se cherche entre les Dolomites et Noida, on a un joli patchwork mondialisé, mais pas toujours digéré. Le client européen, lui, sert un peu de bêta-testeur – sans le salaire d’ingénieur.

Et oui, pendant ce temps, VW, malgré ses propres casseroles (Dieselgate, tu nous manques), passe pour un parangon de rigueur teutonne. Ils ont compris que vendre cher exige au moins l’illusion de la solidité. Stellantis, eux, te vendent le rêve… et t’envoient au service client quand tu te réveilles.

Bref, c’est plus PowerPoint que Powertrain chez Carlos & Co. Reste à voir combien de temps les clients suivront cette logique de l’emballage avant tout. À force de tirer sur la corde du storytelling, elle finit toujours par casser.

comment VW fait-il ça ? pas souvenir d'un bonne communication... les gens n'achètent plus de VW (neuves) surtout.

De toute façon, pour prendre un 1.2 seulement pour un tel véhicule, et pour ce prix haut perché en plus, faut être un peu maso.

Selon moi, seule la version hybride de 195 cv, avec le 1.6 fiabilisé depuis pas mal de temps, est digne d'intérêt, même si le tarif est plus élevé, encore.

Quoiqu'il en soit, face à ses clones, je trouve que c'est ce compass, le plus réussi, d'un point de vue gueule.

évidemment, lorsque une Compass est basé sur ce qu'il se fait de pire en matière automobile (bases de peugeot) avec des moteurs connus comme étant peu fiables (ds, peugeot, citroën trustent les dernières places des derniers classements de fiabilité), cela se sait et cela devient de plus en plus dur de vendre...

Ah, la grande braderie Stellantis… ou l’art de faire du neuf avec du vieux, du flou avec du flambe, et du mondial avec du local au rabais. plateforme modulaire amortie jusqu’à l’os, badge engineering à la chaîne, storytelling marketing façon “grand cru” pour un cubi de 2 litres, et une politique SAV qui ferait passer les queues de la préfecture pour un modèle d’efficacité.

Entre la Citroën C3 indienne vendue comme le nouveau Graal accessible, la DS qui rêve de Versailles avec des assemblages parfois dignes de Playmobil, et la Jeep Avenger qui se cherche entre les Dolomites et Noida, on a un joli patchwork mondialisé, mais pas toujours digéré. Le client européen, lui, sert un peu de bêta-testeur – sans le salaire d’ingénieur.

Et oui, pendant ce temps, VW, malgré ses propres casseroles (Dieselgate, tu nous manques), passe pour un parangon de rigueur teutonne. Ils ont compris que vendre cher exige au moins l’illusion de la solidité. Stellantis, eux, te vendent le rêve… et t’envoient au service client quand tu te réveilles.

Bref, c’est plus PowerPoint que Powertrain chez Carlos & Co. Reste à voir combien de temps les clients suivront cette logique de l’emballage avant tout. À force de tirer sur la corde du storytelling, elle finit toujours par casser.

Ah, la grande braderie Stellantis… ou l’art de faire du neuf avec du vieux, du flou avec du flambe, et du mondial avec du local au rabais. plateforme modulaire amortie jusqu’à l’os, badge engineering à la chaîne, storytelling marketing façon “grand cru” pour un cubi de 2 litres, et une politique SAV qui ferait passer les queues de la préfecture pour un modèle d’efficacité.

Entre la Citroën C3 indienne vendue comme le nouveau Graal accessible, la DS qui rêve de Versailles avec des assemblages parfois dignes de Playmobil, et la Jeep Avenger qui se cherche entre les Dolomites et Noida, on a un joli patchwork mondialisé, mais pas toujours digéré. Le client européen, lui, sert un peu de bêta-testeur – sans le salaire d’ingénieur.

Et oui, pendant ce temps, VW, malgré ses propres casseroles (Dieselgate, tu nous manques), passe pour un parangon de rigueur teutonne. Ils ont compris que vendre cher exige au moins l’illusion de la solidité. Stellantis, eux, te vendent le rêve… et t’envoient au service client quand tu te réveilles.

Bref, c’est plus PowerPoint que Powertrain chez Carlos & Co. Reste à voir combien de temps les clients suivront cette logique de l’emballage avant tout. À force de tirer sur la corde du storytelling, elle finit toujours par casser.

c'est lequel le moteur 1,6 fiabilisé stellantis ? parce que j'ai beau chercher, quand on cherche il y a un message "Erreur HTTP 404"

40 000 balles cette daube moche, mal finie, avec une motorisation de m.... ?????

au moins 10 0000 balles trop cher compte-tenu de la (grosse!) décote ....

c'est lequel le moteur 1,6 fiabilisé stellantis ? parce que j'ai beau chercher, quand on cherche il y a un message "Erreur HTTP 404"

Le 1.2 ex puretech était vraiment le dernier moteur à monter sur une jeep. Vu qu'il est fabriqué avec le Tonale, ils aurait pu sans trop de difficulté greffer un moteur ex-FCA. C'est lassant de voir le groupe s'enfoncer dans ses erreurs.