Par Axel015
La centralisation de la France et les migrations dans les métropoles au détriment de la province fait que la voiture est moins prioritaire pour les jeunes aujourd'hui que dans les années 90. (les TC étant privilégié dans les grandes villes pour se déplacer d'une cage à lapin à une autre cage à lapin)
Si on rajoute à ça, la durée des études (plus longue) qui fait que les jeunes ont moins d'argent qu'avant pour financer le permis.
Sans compter, le motif écologique : la voiture c'est le mal m'voyez ! Très prégnant chez les plus jeunes en sortant d'un curcus d'endoctrinement inévitable lors de la scolarité (dans le public).
https://www.education.gouv.fr/une-ecole-engagee-pour-le-developpement-durable-et-la-transition-ecologique-12017
"L'éducation nationale est pleinement mobilisée dans la lutte contre le changement climatique et en faveur de la biodiversité. Ainsi les élèves sont appelés à être des acteurs majeurs de la transition écologique, et les écoles et établissements des lieux exemplaires de la protection de l'environnement. "
Bref, comprenez que l'école (publique) est devenue un succursale d'EELV, un organe de propagande... Et seul les plus malins arriveront à faire la part des choses et développer leur propre esprit critique ensuite.
A mon époque, c'était pas l'écologie régressive le leit-motiv de l'éducation nationale, c'était "touche pas à mon pote" : l'idéologie diversitaire et la promotion du modèle inclusif. On a vu le résultat (repli communautaire, absence d'assimilation, relation de défiance vis à vis de l'institution, laïcité remise en cause, etc...).
Bref, l'école ferait mieux de reprendre son rôle primaire : instruire et donner une base solide de connaissance. Bref, j'dis ça, j'dis rien.
Tout ça pour dire, que ces évolutions sont parfaitement explicables concernant le permis de conduire.