Par §and835yo
Audi a encore de belles années devant elle, en compétition comme sur le marché !
Le Mans 2011 - La 10ème victoire d'Audi en 10 photos
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Par §and835yo
Audi a encore de belles années devant elle, en compétition comme sur le marché !
Par Anonyme
Cette marque en endurance est juste magnifique . Par ses victoires, par sa maitrise, par son travail, ... ( j'ai pas dit que Peugeot etait des m**** dans ses domaines ). 4 triple en 13 participations, 10 victoires en tant qu'écurie, 11 en tant que motoriste, ... Des stats qui font rever !
Rendez-vous l'annee prochaine pour un nouveau duel Audi-Peugeot !
Par §st-611vn
Honnêtement j'aurais choisis d'autres photos !
Comme une d'un des accidents qui on quand même participés à la victoire d'Audi (même si c'est un peu paradoxale), une autre photo d'une R18 et une 908 ensemble, ainsi qu'une du Dr Ulrich serrant la main de quelqu'un de chez Peugeot !
Pour moi, Peugeot à toute son importance dans la victoire d'Audi cette année !
Après c'est que ma vision de la chose, je veux pas faire celui qui veut réécrire l'article à ma sauce
Par Anonyme
Je suis du même avis que st-225
CC
Par Anonyme
Je suis pour peugeot, mais j'admets que le Dr Ulrich est un sacré bonhomme, fair play, humain. Un grand monsieur !
Par §jal582ld
Oui les 2 boss des 2 marques du Mans se respectent vraiment, c'est beau le sport comme ça. Ca change du foot. Dommage que le règlement ne soit fait que pour ces 2 marques. Cette année Audi avait une meilleure auto en terme de performance, pour y avoir été, c'était flagrant du bord de la piste. Après il faut relativiser, Audi a le plus gros budget, 80M€. En sport auto, ça fait la différence. On sait aussi que si un constructeur veut y mettre le prix, il gagne. On le voit en F1 avec le moteur Renault, en endurance avec Peugeot ou encore en rallye avec Citroen. Je pense que Peugeot n'y a pas assey mis de moyens. Au delà, Audi a une grande maîtrise il faut le reconnaître même si je n'apprécie pas spécialement cette marque. Toute fois, je préfère voir Audi gagner, c'est plus raccord avec sa politique de gamme (R et RS) que Peugeot qui se cherche et se perd dans ces bêtises de voitures sans âme.
Par Anonyme
Sa manque de sportive chez Peugeot
Par Anonyme
Objectif atteint pour audi : la victoire au mans .
Se sont les meilleurs , vive audi .
Et comme dit plus haut , au moins audi ont des sportives dans leurs gammes , du genre une RS3 qui mange toute la production pigeot et meme psa ( simplement une rs3 ,apres il reste toute la gamme S et RS et R )
Psa c est nul , en sport auto ca passe mais en production c est a chier .
Bravo audi . Bravo l allemangne le premier pays europeen , et c est pas pour rien .
Par Anonyme
En réponse à Anonyme
Objectif atteint pour audi : la victoire au mans .
Se sont les meilleurs , vive audi .
Et comme dit plus haut , au moins audi ont des sportives dans leurs gammes , du genre une RS3 qui mange toute la production pigeot et meme psa ( simplement une rs3 ,apres il reste toute la gamme S et RS et R )
Psa c est nul , en sport auto ca passe mais en production c est a chier .
Bravo audi . Bravo l allemangne le premier pays europeen , et c est pas pour rien .
t'es vraiment trés con toi !!!
Par Anonyme
En réponse à Anonyme
Objectif atteint pour audi : la victoire au mans .
Se sont les meilleurs , vive audi .
Et comme dit plus haut , au moins audi ont des sportives dans leurs gammes , du genre une RS3 qui mange toute la production pigeot et meme psa ( simplement une rs3 ,apres il reste toute la gamme S et RS et R )
Psa c est nul , en sport auto ca passe mais en production c est a chier .
Bravo audi . Bravo l allemangne le premier pays europeen , et c est pas pour rien .
oui premier pollueur, premier massacreur, premier empoisonneur , premier menteur accusant des légumes d'un pays au bord de la faillite... etc
ah oui premier en tourisme pervers
Par Anonyme
"Peugeot a perdu les 24 heures du Mans face à Audi, pour la quatrième fois en cinq ans. Et l'écart incroyablement faible entre la R18 vainqueur et la 908 numéro 9 (13 secondes) ne masque pas les raisons d'un échec différent du fiasco de l'an passé. Autopsie d'une défaite cruelle, dans une édition entrée dans la légende de l'épreuve mancelle.
13"854. Voici l'écart qui sépare Audi de Peugeot à l'arrivée des 24 heures du Mans. Un souffle sur le papier, qui sépare une victoire historique, la dixième d'Audi au Mans (incontestablement la plus belle), d'une quatrième défaite en cinq ans, celle de Peugeot. Pourtant, à y voir plus clair, l'écurie française a perdu pour bien plus que 13 secondes...
La fiabilité: Un point fort insuffisant
Le fiasco de l'an dernier (abandons des quatre protos, dont trois sur casse moteur) était resté dans toutes les têtes, un vrai traumatisme. Peugeot a donc énormément travaillé sur ce point. Et le résultat est là: les trois nouvelles 908 sont à l'arrivée. "On avait choisi de travailler sur la fiabilité, confirmait dimanche soir Bourdais à l'ACO.L'objectif est rempli, mais il nous manque 13 secondes à l'arrivée." Le seul problème mécanique vécu est venu perturber la marche de la 8, un équipage solide Minassian-Montagny-Sarrazin, y perdant deux tours dimanche après-midi lors de la neutralisation suivant l'accident de McNish. "On a cassé un répartiteur de freins en début de course, expliquera après l'arrivée Franck Montagny à l'ACO. Pour éviter de surchauffer mes freins derrière la voiture de sécurité, j'ai modifié la balance vers l'arrière et au dernier cran de la molette, le câble a cédé."Sinon, Peugeot a tourné comme une horloge...
La stratégie: Des neutralisations dévastatrices
Peugeot n'a pas su profiter de sa rapide supériorité en nombre, pour harceler l'Audi restante en employant des stratégies décalées. Ou bien, c'était trop tard. Visiblement conscient de disposer d'une voiture un brin moins rapide, le staff technique avait promu la consommation au rang d'obsession, pour gagner le temps grappillé par Audi sur la piste grâce à un arrêt au stand de moins. Bien vu, mais soumis aux aléas de la course. Tout s'est écroulé quand le Lion s'est montré incapable de gérer au mieux les neutralisations de course d'une édition mouvementée, y perdant parfois plus d'une minute sur l'Audi. La cause ? La spécificité du Mans. Long de 13 kilomètres, le circuit impose l'utilisation de plusieurs voitures de sécurité et donc la formation de plusieurs "pelotons". Quand on en rate un à la sortie d'un arrêt au stand, on est contraint d'attendre le suivant, y perdant parfois de précieuses secondes, voire minutes. Les 908 se sont trop souvent retrouvées dans cette situation. Un vrai fiasco stratégique couplé à beaucoup de poisse, la dernière neutralisation permettant à Lotterer de recoller à Bourdais et Gené qui avaient creusé un petit trou... Rageant. Mais, avec trois arrêts de moins que l'Audi, la 908 termine à 13 secondes. Le signe que quelque chose clochait aussi en piste...
Les pilotes: L'énigme Lamy
Difficile de comprendre pourquoi Pedro Lamy, sur la 908 numéro 9, n'a plus pris le volant après 22 heures samedi, laissant Sébastien Bourdais et Simon Pagenaud mener la chasse 17 heures durant. Déficit de performance ? Le Portugais, sur son dernier relais, a effectivement éprouvé des difficultés à suivre le rythme alors qu'il était à la lutte avec Mike Rockenfeller (Audi numéro 1), ne pouvant contenir l'Allemand peu avant 22 heures. Mais la pression était au rendez-vous, puisque sa 908 avait filé tout droit à Arnage aux mains de Simon Pagenaud, quelques minutes avant sa prise de relais. Aucune explication n'a été avancée, Lamy se contentant d'un laconique: "L'équipe a décidé que je ne devais pas conduire beaucoup."Pagenaud et Bourdais, admirables, ont mené seul le combat, perdant d'un rien. Un troisième homme performant aurait peut-être pu servir à quelque chose... Wurz, sur la numéro 7, est lui sorti à Indianapolis le dimanche matin, laissant la numéro 9 seule à pouvoir inquiéter l'Audi R18: "J'étais en train d'attaquer, j'ai freiné un peu tard et voilà ! Je suis déçu, déplore l'Autrichien dans un communiqué. C'est ma première erreur depuis 2008. Faire une faute à un moment crucial de la course, ça fait mal, mais c'est la vie !"
Les réglages: Une 908 trop irrégulière
La nouvelle 908 n'était pas aussi régulière que les dernières évolutions de son ainée. Comme en 2008, Peugeot a semblé énormément souffrir des changements de conditions de course, sa fenêtre d'exploitation optimale étant trop étroite. Si l'Audi R18 a vu également ses chronos osciller, les pilotes Peugeot ont visiblement eu plus de mal à maintenir une température de pneus idoine."Quand on est passé en pneus tendres la nuit, tout s'est mis à bien fonctionner, indique Bourdais sur le site de l'ACO. Si nous avions fait toute la course de nuit, ça n'aurait pas été plus mal pour nous. On n'a pas réussi à faire fonctionner la voiture en pneus "mediums", alors qu'elle fonctionnait très bien en tendres." Hélas pour le Lion, la nuit du Mans, si longue soit-elle, ne couvre que neuf heures de course au mieux, tronquées en plus par plus de deux heures de neutralisation suite au crash de Rockenfeller. Ou quand les déboires d'Audi profitent au final à... Audi.
Il a en tout cas manqué un peu de performance aux Peugeot, rapides en vitesse de pointe mais moins à l'aise qu'Audi sur les parties sinueuses des virages Porsche. De là à dire que la R18 s'est mieux adaptée que la 908 au changement de règlement, qui favorise la performance aérodynamique à celle du moteur (point fort de la précédente 908)... Le bilan à Vélizy s'annonce dur à vivre. Car Peugeot est reparti pour un an de consolations. Le championnat ILMC, qu'il mène encore plus après Le Mans, étant désormais l'objectif.
Par Anonyme
"Peugeot a perdu les 24 heures du Mans face à Audi, pour la quatrième fois en cinq ans. Et l'écart incroyablement faible entre la R18 vainqueur et la 908 numéro 9 (13 secondes) ne masque pas les raisons d'un échec différent du fiasco de l'an passé. Autopsie d'une défaite cruelle, dans une édition entrée dans la légende de l'épreuve mancelle.
13"854. Voici l'écart qui sépare Audi de Peugeot à l'arrivée des 24 heures du Mans. Un souffle sur le papier, qui sépare une victoire historique, la dixième d'Audi au Mans (incontestablement la plus belle), d'une quatrième défaite en cinq ans, celle de Peugeot. Pourtant, à y voir plus clair, l'écurie française a perdu pour bien plus que 13 secondes...
La fiabilité: Un point fort insuffisant
Le fiasco de l'an dernier (abandons des quatre protos, dont trois sur casse moteur) était resté dans toutes les têtes, un vrai traumatisme. Peugeot a donc énormément travaillé sur ce point. Et le résultat est là: les trois nouvelles 908 sont à l'arrivée. "On avait choisi de travailler sur la fiabilité, confirmait dimanche soir Bourdais à l'ACO.L'objectif est rempli, mais il nous manque 13 secondes à l'arrivée." Le seul problème mécanique vécu est venu perturber la marche de la 8, un équipage solide Minassian-Montagny-Sarrazin, y perdant deux tours dimanche après-midi lors de la neutralisation suivant l'accident de McNish. "On a cassé un répartiteur de freins en début de course, expliquera après l'arrivée Franck Montagny à l'ACO. Pour éviter de surchauffer mes freins derrière la voiture de sécurité, j'ai modifié la balance vers l'arrière et au dernier cran de la molette, le câble a cédé."Sinon, Peugeot a tourné comme une horloge...
La stratégie: Des neutralisations dévastatrices
Peugeot n'a pas su profiter de sa rapide supériorité en nombre, pour harceler l'Audi restante en employant des stratégies décalées. Ou bien, c'était trop tard. Visiblement conscient de disposer d'une voiture un brin moins rapide, le staff technique avait promu la consommation au rang d'obsession, pour gagner le temps grappillé par Audi sur la piste grâce à un arrêt au stand de moins. Bien vu, mais soumis aux aléas de la course. Tout s'est écroulé quand le Lion s'est montré incapable de gérer au mieux les neutralisations de course d'une édition mouvementée, y perdant parfois plus d'une minute sur l'Audi. La cause ? La spécificité du Mans. Long de 13 kilomètres, le circuit impose l'utilisation de plusieurs voitures de sécurité et donc la formation de plusieurs "pelotons". Quand on en rate un à la sortie d'un arrêt au stand, on est contraint d'attendre le suivant, y perdant parfois de précieuses secondes, voire minutes. Les 908 se sont trop souvent retrouvées dans cette situation. Un vrai fiasco stratégique couplé à beaucoup de poisse, la dernière neutralisation permettant à Lotterer de recoller à Bourdais et Gené qui avaient creusé un petit trou... Rageant. Mais, avec trois arrêts de moins que l'Audi, la 908 termine à 13 secondes. Le signe que quelque chose clochait aussi en piste...
Les pilotes: L'énigme Lamy
Difficile de comprendre pourquoi Pedro Lamy, sur la 908 numéro 9, n'a plus pris le volant après 22 heures samedi, laissant Sébastien Bourdais et Simon Pagenaud mener la chasse 17 heures durant. Déficit de performance ? Le Portugais, sur son dernier relais, a effectivement éprouvé des difficultés à suivre le rythme alors qu'il était à la lutte avec Mike Rockenfeller (Audi numéro 1), ne pouvant contenir l'Allemand peu avant 22 heures. Mais la pression était au rendez-vous, puisque sa 908 avait filé tout droit à Arnage aux mains de Simon Pagenaud, quelques minutes avant sa prise de relais. Aucune explication n'a été avancée, Lamy se contentant d'un laconique: "L'équipe a décidé que je ne devais pas conduire beaucoup."Pagenaud et Bourdais, admirables, ont mené seul le combat, perdant d'un rien. Un troisième homme performant aurait peut-être pu servir à quelque chose... Wurz, sur la numéro 7, est lui sorti à Indianapolis le dimanche matin, laissant la numéro 9 seule à pouvoir inquiéter l'Audi R18: "J'étais en train d'attaquer, j'ai freiné un peu tard et voilà ! Je suis déçu, déplore l'Autrichien dans un communiqué. C'est ma première erreur depuis 2008. Faire une faute à un moment crucial de la course, ça fait mal, mais c'est la vie !"
Les réglages: Une 908 trop irrégulière
La nouvelle 908 n'était pas aussi régulière que les dernières évolutions de son ainée. Comme en 2008, Peugeot a semblé énormément souffrir des changements de conditions de course, sa fenêtre d'exploitation optimale étant trop étroite. Si l'Audi R18 a vu également ses chronos osciller, les pilotes Peugeot ont visiblement eu plus de mal à maintenir une température de pneus idoine."Quand on est passé en pneus tendres la nuit, tout s'est mis à bien fonctionner, indique Bourdais sur le site de l'ACO. Si nous avions fait toute la course de nuit, ça n'aurait pas été plus mal pour nous. On n'a pas réussi à faire fonctionner la voiture en pneus "mediums", alors qu'elle fonctionnait très bien en tendres." Hélas pour le Lion, la nuit du Mans, si longue soit-elle, ne couvre que neuf heures de course au mieux, tronquées en plus par plus de deux heures de neutralisation suite au crash de Rockenfeller. Ou quand les déboires d'Audi profitent au final à... Audi.
Il a en tout cas manqué un peu de performance aux Peugeot, rapides en vitesse de pointe mais moins à l'aise qu'Audi sur les parties sinueuses des virages Porsche. De là à dire que la R18 s'est mieux adaptée que la 908 au changement de règlement, qui favorise la performance aérodynamique à celle du moteur (point fort de la précédente 908)... Le bilan à Vélizy s'annonce dur à vivre. Car Peugeot est reparti pour un an de consolations. Le championnat ILMC, qu'il mène encore plus après Le Mans, étant désormais l'objectif.
Par Anonyme
je suis assez d'accord, Peugeot aurait du gagner car il ont moins d'arret au stand et donc plus de temps sur la piste mais il se sont fait pieger par le reglement.
manque d'experience face à Audi.
pour 13secondes, c'est rageant.
Par Anonyme
Pas besoin de votre une peugeot ou qu'on serre la main des gens de chez peugeot! La victoire c'est AUDI et rien dautre!
Pas de place pour les perdants. Lannee passee quand ej pense que peugeot à tt fait pour que les audi ne gagnent pas soit disant que certaines pieces netaient pas reglementaires etc et ils ont gagnes quand emem apres midof et tiens encore cette annee avec une seule auto contre 3!!!CHAPEAU AUDI!!
Par Anonyme
Anonyme le 16 Juin 2011 à 20h30: quand on voit ton orthographe on comprend mieux la débilité de tes propos
Par Anonyme
à l'analphabète de 20h30 Audi avait bien 3 voitures comme Peugeot. Ils en ont mis 2 au tas, mais en aucun cas ils ne sont partis en infériorité numérique. Le plus paradoxal c'est que les neutralisations provoquées pas les Audi ont servi l'Audi de tête.
Eric.
Par Anonyme
Pas besoin de votre une peugeot ou qu'on serre la main des gens de chez peugeot ?????????
j'ai pas bien compris!!!!!
Par Anonyme
On s en branleet c est normal qu il n y ait pas de peugeot sur la photo
Franchement c est quoi ces cassos pro francais ,a part au poduim dans TOUS les sports ben on prend en photo le vainqueur ,le vaincu on s en fout.
Par Anonyme
En réponse à Anonyme
oui premier pollueur, premier massacreur, premier empoisonneur , premier menteur accusant des légumes d'un pays au bord de la faillite... etc
ah oui premier en tourisme pervers
bon ben voila avec ton commentaire, tu prouve à tous que t'es encore plus con que l'autre...bravo...continue à patauger...
Par Anonyme
c'est marrant, c'est audi qui a gagné, mais c'est Grâce à Peugeot. Non mais qu'est-ce qu'il ne faut pas lire comme conneries. Peugeot a bien foiré, point barre. Il n'y a rien à rajouter. Bravo pour leur participation, pour avoir ramené leurs voitures à l'arrivée, MAIS C'EST TOUT. Ils ont fini derrière. (punkt schluss comme on dit chez Audi)
Vive la France, vive les Français.....et merci Peugeot d'avoir laissé gagné Audi. (Audi a un tel budget, qu'ils ont surement acheté la course à Peugeot hein...tient on l'a pas encore entendu celle-là...)
Par Anonyme
+1000 !!!!!!
Par Anonyme
Je suis désolé mais ces 10 photos ne reflètent en rien la course marquée par 2 accidents très spectaculaires qu iauraient pû avoir des conséquences dramatiques ainsi au par un duel terrible avec Peugeot 13 secondes d'écart sur 24 heures c'est rien, c'est moins que ce qu'on retrouve à la fin d'un grand prix de F1.
Par Anonyme
Par ian51 le 18 Juin 2011 à 22h49
Normal qu'ils ne veulent pas venir et Toyota ne mettra pas un diesel.
"« Les Diesel ont droit aux 24 heures du Mans à 700 CV (réglementation ACO), les essences étant limitées à…600 CV, où est la justice??
La encore se pose le problème du turbo…en effet l’essence est toujours plus performant que le diesel avec les mêmes organe mécaniques (oui car on compare toujours un TURBOdiesel à un essence atmo) essayez de caler deux gros turbos sur le moteur Pesca’ et il vous sortira plus de 700ch..
Un diesel aux 24 heures du Mans à droit à un turbo poussant à 2940 mbar, une essence à turbo (il n’y en avait aucune aux 24 heures du mans) à droit à un turbo soufflant à…1700 mbar…
LA PREUVE page 23 et 24 du réglement ACO : http://www.lemans.org/sport/sport/regle Un diesel a droit aux 24 Heures du mans à une cylindrée maximale de 5500 cm3, une essence 4000 cm3…(même lien…)
Comme on le voit le diesel est scandaleusement privilégié…les 24 heures du Mans ne peuvent en aucun cas servir à étayer une comparaison essence – diesel, tant le match est joué d’avance au vu d’une réglementation qui avantage outrageusement la motorisation Diesel… »
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Tout ça c'est marketing pour faire vendre plus de diesels en France en faisant croire aux gents qu'un moteur diesel est plus performant qu'un moteur essence alors que c'est faux!
Changer le reglement pour avantager les diesels en endurance et booster les ventes HDI/TDI et combien voullez vous pariez que quand ils voudront faire acheter aux gents des hybrides, ils les favoriseront à leur tour mais à la limite, je préfère voire rouler une Porsche GT3-R Hybride que les diesels au Mans qui n'ont comme bruit que l'air qu'ils deplacent.
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