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Commentaires - La RATP commence à acheter ses bus "propres"

Patrick Garcia

La RATP commence à acheter ses bus "propres"

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Votre article est faux, la RATP possède depuis plusieurs années, à partir des années 1990, des bus au GPL sur le centre bus d'Aubervilliers(50 bus)) et des bus au gaz de ville compressé sur le centre bus de Créteil(80 bus sur 180). Je ne parle pas des bus électriques qui déservent Montmartre à partir du centre bus de Championnet(20 bus). J'ai participé à la mise en service des installations complexes et aux investissements élevés tant spécifiques qu'électrique). Le reste des bus est renouvelé régulièrement et donc aux normes en vigueur et certainement mieux entretenus que la flotte de camions et camionnettes qui circulent en ville sans aucun contrôle ou presque. Alors, bien sur on peut toujours faire plus, mais les conditions de services(lignes de 310/330km), liés aux possibilités des constructeurs actuels et à l'investissement que nécessite un passage à l'électrique avec les difficultés d'autonomie que l'on connait(voir l'article et les réactions sur la Nissan leaf) font que le bus diesel n'a de concurrent que le bus à gaz comprimé mais qu'il est impossible de mettre en circulation ces types de bus dans des centres bus intramuros à la capital ou autre grandes villes pour des raisons de sécurité. Votre article devrait rajouté, qu'aujourd'hui, le seul constructeur qui garantie et fait fonctionné des bus en service avec une autonomie de 320/340km, c'est le Chinois BYD et le gouvernement ne souhaite pas avoir des bus Chinois dans la capitale.....

Par

Merci Ghlapin pour ton ajout. :good:

Un parc 100% GNV ou GPL c'est pas assez propre ? Certes on s'émancipe pas des énergies fossiles, mais n'est-ce pas la meilleure balance entre niveau rejets dans l'air et autonomie des véhicules ?

Par

Dans certaines villes, le parc total de bus est déjà complètement passé au GPL/GNV.

Par §Dad381ms

Le ton est un peu grossi dans l'article en disant : "de bons gros bus diesel ".

Une bonne partie des bus circulant dans paris tourne à l'aquazole et son équiper de filtre à particule. C'est fini le temps des vieux Renault qui crachaient un immonde nuage noir ...

Par

En réponse à ghlapin

Votre article est faux, la RATP possède depuis plusieurs années, à partir des années 1990, des bus au GPL sur le centre bus d'Aubervilliers(50 bus)) et des bus au gaz de ville compressé sur le centre bus de Créteil(80 bus sur 180). Je ne parle pas des bus électriques qui déservent Montmartre à partir du centre bus de Championnet(20 bus). J'ai participé à la mise en service des installations complexes et aux investissements élevés tant spécifiques qu'électrique). Le reste des bus est renouvelé régulièrement et donc aux normes en vigueur et certainement mieux entretenus que la flotte de camions et camionnettes qui circulent en ville sans aucun contrôle ou presque. Alors, bien sur on peut toujours faire plus, mais les conditions de services(lignes de 310/330km), liés aux possibilités des constructeurs actuels et à l'investissement que nécessite un passage à l'électrique avec les difficultés d'autonomie que l'on connait(voir l'article et les réactions sur la Nissan leaf) font que le bus diesel n'a de concurrent que le bus à gaz comprimé mais qu'il est impossible de mettre en circulation ces types de bus dans des centres bus intramuros à la capital ou autre grandes villes pour des raisons de sécurité. Votre article devrait rajouté, qu'aujourd'hui, le seul constructeur qui garantie et fait fonctionné des bus en service avec une autonomie de 320/340km, c'est le Chinois BYD et le gouvernement ne souhaite pas avoir des bus Chinois dans la capitale.....

   

l'article n'est pas faux. jsute que les journalistes sont en fait les courroies de transmission des groupes de communication donc là ca se voit.

La solution est chinoise et ca le gouvernement n'en veut pas. entre chinois et pollution, en france on prefere la pollution.. marrant.

Et cela veut dire que les chinois et l'electrique, c'est deja pour hier.

Le journaliste ici nous fait le coup du VE. Ca remplie son quota de vertitude.

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Par

C'est des bus hyundai?

Par

En réponse à vroum le retour

Dans certaines villes, le parc total de bus est déjà complètement passé au GPL/GNV.

   

La particularité de Paris c'est qu'une parti de ses centres bus sont dans Paris et donc il est impossible pour des questions de sécurité(normes) de les mettre en dehors de Paris et même si on le voulait, cela voudrait dire que les bus feraient à vide plus de kilomètre qu'en charge pour les lignes intramuros. Impossible.

C'est le problème des bus électriques, l'autonomie actuel, surtout pour Bolloré est maximum de 180km, on est un peu court pour le moins et il est très délicat et très chère de changer la longueur et donc le nombre de lignes dans Paris.

Je ne m’étends pas non plus sur la charge du matin qui est très rapide pour un bus "fossile ou gaz", mais pour l'électrique il faut multiplier les postes de recharge par bus ou par groupe de bus donc investissement par centre bus important, les charges par induction sur le long du parcours ne sont pas encore vraiment opérationnelles et surtout imposent un investissement en voirie couteux et délicat, etc...

Les politiques vont souvent un peu vite en besogne, dans le cas présent c'est bien, ils poussent dans le bon sens, mais la réalité économique et technique sont souvent là pour calmer leur décision. Hélas, comme pour le cas de l'EPR, si ils se trompent, c'est le peuple qui paye.

Par §myn552LJ

En réponse à ghlapin

Votre article est faux, la RATP possède depuis plusieurs années, à partir des années 1990, des bus au GPL sur le centre bus d'Aubervilliers(50 bus)) et des bus au gaz de ville compressé sur le centre bus de Créteil(80 bus sur 180). Je ne parle pas des bus électriques qui déservent Montmartre à partir du centre bus de Championnet(20 bus). J'ai participé à la mise en service des installations complexes et aux investissements élevés tant spécifiques qu'électrique). Le reste des bus est renouvelé régulièrement et donc aux normes en vigueur et certainement mieux entretenus que la flotte de camions et camionnettes qui circulent en ville sans aucun contrôle ou presque. Alors, bien sur on peut toujours faire plus, mais les conditions de services(lignes de 310/330km), liés aux possibilités des constructeurs actuels et à l'investissement que nécessite un passage à l'électrique avec les difficultés d'autonomie que l'on connait(voir l'article et les réactions sur la Nissan leaf) font que le bus diesel n'a de concurrent que le bus à gaz comprimé mais qu'il est impossible de mettre en circulation ces types de bus dans des centres bus intramuros à la capital ou autre grandes villes pour des raisons de sécurité. Votre article devrait rajouté, qu'aujourd'hui, le seul constructeur qui garantie et fait fonctionné des bus en service avec une autonomie de 320/340km, c'est le Chinois BYD et le gouvernement ne souhaite pas avoir des bus Chinois dans la capitale.....

   

mais quel doit être la disponibilité réelle d'un bus? est-il toujours en train de rouler, ou ne peut-il pas profiter des arrêts aux terminus pour recharcher ses batteries? sachant qu'il part ensuite pour un trajet rarement de plus de 50 bornes et à une allure parfaitement adaptée à l'usage d'un véhicule électrique.

donc, pour moi, j'aurais tendance à dire que le bus électrique est une vraie solution.

pas pour le car en revanche, aux trajets nettement plus longs.

Par

En réponse à ghlapin

Votre article est faux, la RATP possède depuis plusieurs années, à partir des années 1990, des bus au GPL sur le centre bus d'Aubervilliers(50 bus)) et des bus au gaz de ville compressé sur le centre bus de Créteil(80 bus sur 180). Je ne parle pas des bus électriques qui déservent Montmartre à partir du centre bus de Championnet(20 bus). J'ai participé à la mise en service des installations complexes et aux investissements élevés tant spécifiques qu'électrique). Le reste des bus est renouvelé régulièrement et donc aux normes en vigueur et certainement mieux entretenus que la flotte de camions et camionnettes qui circulent en ville sans aucun contrôle ou presque. Alors, bien sur on peut toujours faire plus, mais les conditions de services(lignes de 310/330km), liés aux possibilités des constructeurs actuels et à l'investissement que nécessite un passage à l'électrique avec les difficultés d'autonomie que l'on connait(voir l'article et les réactions sur la Nissan leaf) font que le bus diesel n'a de concurrent que le bus à gaz comprimé mais qu'il est impossible de mettre en circulation ces types de bus dans des centres bus intramuros à la capital ou autre grandes villes pour des raisons de sécurité. Votre article devrait rajouté, qu'aujourd'hui, le seul constructeur qui garantie et fait fonctionné des bus en service avec une autonomie de 320/340km, c'est le Chinois BYD et le gouvernement ne souhaite pas avoir des bus Chinois dans la capitale.....

   

Il faut être cohérent: on ne peux pas culpabiliser les possesseurs de voitures diesel, déclarer (maire de paris) ne plus en souhaiter dans la capitale et faire rouler des bus diesels aussi propres soient ils!

On se doit en tant que politique, prendre en compte toute la problématique, entreprise et particuliers (car eux aussi ont leurs problèmes).

Vous ne souhaitez acheter de bus chinois ( c'est bien) mais le particulier ne souhaite pas changer sa voiture pour des raisons de coût (comme vous) c'est tout aussi recevable! Il ne pourra pas augmenter le ticket de bus pour absorber le surcout!

Par §wiz107IW

En réponse à ghlapin

Votre article est faux, la RATP possède depuis plusieurs années, à partir des années 1990, des bus au GPL sur le centre bus d'Aubervilliers(50 bus)) et des bus au gaz de ville compressé sur le centre bus de Créteil(80 bus sur 180). Je ne parle pas des bus électriques qui déservent Montmartre à partir du centre bus de Championnet(20 bus). J'ai participé à la mise en service des installations complexes et aux investissements élevés tant spécifiques qu'électrique). Le reste des bus est renouvelé régulièrement et donc aux normes en vigueur et certainement mieux entretenus que la flotte de camions et camionnettes qui circulent en ville sans aucun contrôle ou presque. Alors, bien sur on peut toujours faire plus, mais les conditions de services(lignes de 310/330km), liés aux possibilités des constructeurs actuels et à l'investissement que nécessite un passage à l'électrique avec les difficultés d'autonomie que l'on connait(voir l'article et les réactions sur la Nissan leaf) font que le bus diesel n'a de concurrent que le bus à gaz comprimé mais qu'il est impossible de mettre en circulation ces types de bus dans des centres bus intramuros à la capital ou autre grandes villes pour des raisons de sécurité. Votre article devrait rajouté, qu'aujourd'hui, le seul constructeur qui garantie et fait fonctionné des bus en service avec une autonomie de 320/340km, c'est le Chinois BYD et le gouvernement ne souhaite pas avoir des bus Chinois dans la capitale.....

   

c'est donc ce bus

http://www.aveq.ca/actualiteacutes/le-chinois-byd-russi-un-exploit-avec-son-bus-lectriquestl_synchro

http://www.stm.info/sites/default/files/affairespubliques/Communiques/Annexes/ap_fiche_byd_fr.pdf

http://www.aqme.org/DATA/TEXTEDOC/Microsoft_PowerPoint_-_Presentation_Autobus_hybrides_et_electriques_2014-01-08_ver_finale_corrigee_Lecture_seule.pdf

364kWh pour 3650kg de batterie

alors certes, il y a davantage d'autonomie que celle de Boloré, 180km (à la demande de la RATP). Mais il reste à connaitre la quantité de batterie dans cette dernière. Sinon, pour avoir davantage d'autonomie, il y a aussi la méthode Tesla, embarquer autant de batterie qu'il faudra...

Par

Reste assis t'es payé!

 

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