Pour réussir le développement de modèles électriques sur le marché américain, quoi de mieux que d'embaucher un Américain qui était jusqu'à présent chez un constructeur US de voitures électriques. Le groupe Volkswagen a en effet embauché Matthew Renna, qui sera à la tête des véhicules électriques du géant allemand aux Etats-Unis.
Ce propriétaire de Tesla entend "participer à la révolution des transports" avec sa voiture électrique et son mode Autopilot. L'homme a d'ailleurs demandé explicitement à ce qu'aucune action ne soit engagée contre Tesla si un accident venait à survenir à bord de son auto avec le mode semi-autonome enclenché.
Les derniers jours ont été agités pour une marque Tesla qui a dû rappeler certains de ses modèles, faire face à des investigations après un accident mortel de la circulation tandis que des experts financiers annonçaient sa faillite prochaine. Le patron Elon Musk a répondu par la dérision sur le dernier sujet. Mais il faut tenir la position et faire feu de tout bois pour rassurer et être pérenne. Les derniers chiffres du marché américain de l’automobile tombent, sur ce plan, à point nommé.
Tesla est actuellement dans une tourmente telle que certains experts financiers prédisent sa ruine dans les mois à venir. Entre un déficit chronique, un Model 3 qui ne sort des chaînes qu’au compte-gouttes et une dernière enquête ouverte par l’administration au sujet de son système « Autopilot » mis à l’index à la suite d’un accident mortel, la marque de voitures électriques haut de gamme essuie la tempête. Son cours de l’action en a pris un coup. Mais visiblement pas le moral du patron Elon Musk !
C'est la plus grosse campagne de rappel de la (courte) histoire de Tesla. Il concerne un défaut de la direction assistée sur la berline Model S. Aucun accident lié à ce problème n'a été répertorié.
Sale temps pour Tesla ! Le patron Elon Musk a eu beau s’assurer d’un salaire faramineux de 56 milliards de dollars, il ne s’est pas ménagé un avenir radieux pour autant. Pour certains, il ne touchera jamais ces émoluments, d’autant moins que la faillite est proche. Au plus vite, c’est une affaire de trois mois, sinon, l’agonie durera jusqu’à la fin de l’année. Mais l’issue fatale est inéluctable. C’est un certain John Thompson, un gérant de fonds reconnu de Wall Street qui le promet. Et pour cause. Cela arrangerait ses affaires…
Le 23 mars dernier, la NTSB (national transport safety board) annonçait via Twitter mener une enquête sur la mort d'un propriétaire de Tesla Model X en Californie à la suite d'un accident. La NTSB précisait notamment vouloir en savoir plus sur l'usage potentiel de l'Autopilot dans le cas de cet accident. Il n'en a pas fallu beaucoup plus pour que l'action Tesla dégringole en bourse.
Ecologie, espace de chargement et prix au kilomètre sont les données qui ont séduit la police de Bâle. Cette dernière vient d'annoncer dans un communiqué qu'elle allait remplacer ses "breaks diesels" par des Tesla Model X.
C’est une situation qui montre qu’à notre époque, il n’y a plus de repères ni de logiques. Mais seulement des opportunités, généralement au bénéfice d’initiés. Ainsi, les patrons de groupes automobiles historiques dont les usines sont peuplées de salariés sont plus souvent qu’à leur tour vilipendés ou cloués au pilori au simple énoncé de leur salaire. Mais voilà que l’on annonce au patron d’une marque Tesla sympathique, mais aux pertes colossales, une rémunération de 56 milliards de dollars, validée dans la liesse par les actionnaires. Incroyable ? Tout dépend de quoi on parle…
Tesla poursuit son offensive avec une nouvelle concession dans le quartier de la Madeleine à Paris… C’est l’occasion pour le constructeur d’asseoir son image chic et de proposer de nouveaux services.
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