Après les Peugeot 3008 et autres Alpine A110, la gendarmerie nationale vient de commander 800 Renault Grand Scénic pour renouveler son parc automobile. Des modèles équipés de moteurs essence non hybrides.
La division très probable de Renault en deux entités, l’une thermique l’autre électrique, dont la première serait, en partie, vendue au chinois Geely et au saoudien Aramco, pourrait bien donner des idées à d’autres constructeurs. Car tous ont besoin de financer leur transformation et tous savent que le thermique sera, à long terme, réservé à quelques pays, et pas des plus riches.
Star du Mondial de Paris 2022, le nouveau Renault Austral possède-t-il de quoi faire tomber le Peugeot 3008 de son piédestal ?
Selon une étude du cabinet allemand Statista, l'hexagone est le pays industrialisé le moins enthousiaste envers la voiture électrique. La France figure même bon dernier dans le classement loin derrière la Norvège, bien sûr, mais aussi la Chine, le Canada et les États-Unis.
Après Volvo et une partie du groupe Mercedes-Benz, le Chinois Geely va-t-il investir massivement dans la future division thermique de Renault ? C'est ce qu'il se murmure en coulisses.
Après l’Alpine A110 qui a fini sur le toit il y a un mois, une autre voiture de la Gendarmerie vient de connaître un triste sort : une Megane RS. Accidentée à Saône, dans le Doubs, la voiture a fait un tonneau avant de terminer sa course dans le fossé. Seule la passagère a été légèrement blessée.
Jadis prodigue en la matière, Renault ne produit plus de petite sportive. Aussi, la dernière en date, la Clio IV RS, bénéficie-t-elle d’un certain regain d’intérêt. D’où une cote très solide : un bon plan.
Deux rassemblements importants à signaler en Ile-de-France dans les semaines à venir pour les amateurs de voitures françaises.
Entre les deux stars du Mondial de l'Automobile 2022, qui plaira le plus aux clients ? La Peugeot 408 et le Renault Austral emploient des méthodes différentes mêmes s'ils s'apparentent tous les deux à des crossovers.
Malgré une année toujours marquée par des pénuries de composants entraînant des retards dans les chaînes de production, les usines françaises de Stellantis et Renault s’attendent à une reprise de septembre plus apaisée.
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