Force est de constater que Rolls-Royce a su ( à nouveau ) s’imposer comme la référence du luxe absolu en matière d’automobile, y compris dans le cadre de ce salon de Genève ou les grosses limousines anglaises pullulent sur le stand des

Vous souvenez-vous du cadeau que vous avez eu pour vos 16 ans? Non ? Moi non plus... et cela prouve qu'il n'avait sûrement rien de délirant, mais chez les Puffy, cela se passe légèrement différemment.

Après la très luxueuse Maybach 62S, voici la non moins ostentatoire 57S, en version Brabus s'il vous plaît !

Plus de 400 000 euros dans une Mercedes ? C'est forcément dans ce dragster de SLR... mais pas uniquement !

Rolls-Royce termine de préparer sa nouvelle « petite » Ghost mais du coté de son concurrent allemand, on s’occupe du porte-étendard qui s’apprête à recevoir quelques menues améliorations pour poursuivre tranquillement sa carrière face

Dans la foulée des annonces de résultats, poursuivons avec le groupe Daimler regroupant Mercedes, Smart et Maybach mais également les divisions PL et bus et les services financiers. Sur le seul troisième trimestre (Q2), le groupe enregistre un

Connaissez-vous Salon Privé ? Sorte de version anglaise du Top Marques monégasque, talentueusement couvert chaque édition par l’ami Patrick, ce salon hyper select en sera cette année à sa quatrième édition.

Pour ce salon de Genève, Maybach a décidé de faire revivre l’appellation Zeppelin déjà utilisée pour l’un de ses modèles dans les années 30. Cette version la plus luxueuse sera disponible uniquement à 100 exemplaires sur la carrosserie

Genève, terre de banquiers. Maybach, voiture de banquiers. Logique que les 2 se retrouvent sur ce 79e salon suisse. Cette Maybach Zeppelin qui n'est pas forcément une belle Plant n'est en fait qu'une finition disponible sur les versions 57 ou 62

Aux Etats-Unis plus qu'ailleurs la musique et le sport sont un moyen d'intégration et de réussite pour certains jeunes issus de quartiers défavorisés. Par conséquent lorsque le point de rentabilité tant attendu arrive enfin, la consommation