Une quinzaine de grands dirigeants du secteur automobile se sont pliés à l’exercice de l’interview sous l’un des chapiteaux du cirque Micheletty où est organisé le salon Caradisiac 2021. Aujourd'hui, c'est au tour de Béatrice Foucher, directrice générale de DS Automobiles de se plier à l'exercice.
Michel Holtz
Lui écrireDans les années 90, le service marketing de Volkswagen a décidé de donner un coup de fouet à la Polo, et surtout un coup de fantaisie à une auto qui en manquait. Le résultat s'est décliné en quatre couleurs, comme un stylo-bille. Les Allemands ont apprécié le geste, les Français pas du tout.
Six ans après le début de l'instruction, les mises en examen sont tombées la semaine passée. Et trois marques françaises sont incriminées : Citroën, Peugeot comme Renault se sont vu signifier par la justice qu'ils avaient trompé leur monde entre 2009 et 2015. Mais six ans ont passé et ces constructeurs, contraints et forcés par les pouvoirs publics européens, ont évolué et se sont adaptés. Ils sont aujourd'hui rattrapés par cette vieille histoire...
Pour ce passionné de moto, un univers dans lequel il travaille, les voitures n'étaient jusqu'ici qu'un simple moyen de déplacement. Mais depuis qu'il s'est offert une Alpine A110S, il découvre les joies que procurent une sportive à quatre roues, sur route comme sur circuit. Résultat : 5 000 km en trois mois. Un gros score pour une auto qu'il ne destine pourtant qu'aux loisirs.
Le film de Chloé Zhao, sorti ce mercredi sur les écrans, évoque la vie des nouveaux nomades américains et offre une vision désenchantée du rêve US à travers la vie de ceux qui ont renoncé à tout, sauf à leur van. American way of life oblige.
La baie de Capri en Italie n'abrite pas seulement des trésors architecturaux et des paysages époustouflants. On y découvre de très curieux taxis. Ces engins bizarres sont des monospaces cabriolet concoctés par un designer aux idées fixes : Giovanni Vernagallo. Ses voitures sont des défis aux lois de la physique et aux codes esthétiques.
Les ennemis des autos à watts sont encore nombreux, fustigeant les problèmes liés à l'autonomie des voitures, à la difficulté de leur recharge, à leur prix et à leur propreté remise en cause. Pourtant, si la bascule vers ce type de motorisation est inévitable à l'horizon 2030-2040, ils jugent toujours l'auto électrique à l'aune des connaissances d'aujourd'hui, sans même envisager qu'un modèle plus évolué, plus propre, plus respectueux de la nature puisse voir le jour d'ici 10 ans.
C'est un ouvrage au titre provocateur qui déboule en librairie ces temps-ci. L'arnaque de la voiture propre met à mal quelques illusions : celle de l'absence de pollution des nouveaux véhicules, celle de la durabilité de ces autos, et enfin, celle d'une décision politique cohérente. Pour parvenir à ces conclusions, son auteur, Nicolas Meunier, a quelques solides arguments à faire valoir.
On peut estimer qu'elle est affreuse, mais on peut aussi lui trouver de vraies références esthétiques et historiques. Tracée à grands coups de cercles qui parcouraient ce drôle d'engin de la fin des années 80, la S Cargo rendait hommage à la 2 CV et à Le Corbusier.
Il y a un siècle tout juste, un décret instituait le premier Code de la route français. Très imparfait, ce petit livret d'une dizaine de pages allait très vite être complété par des dizaines d'autres décrets et de règles contraignantes.