Une flopée de nouveautés s'apprête à débarquer en concession et elles ne sont pas toutes à batteries. Une situation qui s'explique par les ventes d'électriques qui ne sont pas à la hauteur ? En tout cas cet afflux de nouvelles autos ne devrait pas résoudre les difficultés sociales du secteur.

Le camping, on connaît, le glamping, sa version chic, aussi. Mais voilà le flamping qui associe l’aviation et les nuits sous la toile. Une sorte de vanlife volante.

L'INFO DU JOUR - Le futur président des États-Unis souhaite en finir avec les 7 500 euros de bonus accordé aux acheteurs de voitures électriques. De quoi crisper son mécène et futur ministre Elon Musk ? Pas le moins du monde. Quant aux autres constructeurs, ils sont fatalistes.

L'INFO DU JOUR - On définit souvent les accords du Mercosur comme un deal de « viande contre voitures ». Et si les agriculteurs européens peuvent effectivement être lésés par ce traité, les constructeurs automobiles, surtout allemands, comptent sur lui pour sortir de l’impasse.

Fondé en 2004 au Danemark, le tout petit constructeur a connu plusieurs déboires en deux décennies. Mais à chaque fois, il a persévéré. Sa dernière production, présentée l'an passé, devrait, peut-être, être produite en 2025, voir l'année d'après.

C'est un feuilleton, bricolé, sorti de la nuit des temps. Pourtant, cinquante ans après sa diffusion, c'est l'occasion de retrouver quelques circuits oubliés et quelques autos qui le sont tout autant.

L'ACTU DE LA SEMAINE EN PHOTO - Le nouveau SUV franco roumain n'est pas un clone de son petit frère Duster. Caradisiac s'est amusé au jeu des différences entre les deux modèles avant les premiers essais du Bigster. Mais si ce dernier est promis à un bel avenir, les ventes de voitures électriques, quant à elles, sont toujours en berne

Un aménageur hollandais transforme le Combi électrique en van. Au menu : deux couchages pour 4 personnes en tout, des plaques à induction et un tarif pas vraiment canon : 95 000 euros pour la version 204 ch.

L'INFO DU JOUR - Pour l'ACEA, le lobby des constructeurs européens, la mise en place des normes CAFE au 1er janvier se traduiront par des amendes évaluées à 15 milliards d'euros. Faux, leur rétorquent un think tank et une ONG.

Tous les arguments pour elle sont battus en brèche. Nombre d’instances, publiques ou industrielles s’y opposent. Tous les indicateurs économiques plaident en sa défaveur. Combien de chances restent-ils pour que l’échéance de 2035 soit maintenue ? Très peu.