L’humanité entre dans une ère inédite où chacun doit apprendre à coexister en permanence avec des quantités exponentielles d’objets connectés et désormais, c’est au tour du transport de rallier "l’internet des objets". Mais si l’émergence de nouveaux systèmes de transport intelligents et coopératifs est un réel progrès, la protection des données personnelles face à la menace de leur marchandisation est impérative.
Aurélien Voirin
Lui écrireDepuis la Cop21 fin 2018, constructeurs et États misent sur l’électromobilité à batteries lorsqu’il est question de courtes mobilités urbaines. Pourtant une réalité émerge : aucune transition énergétique ne pourra être complète sans l’aide des « e-carburants », nom donné aux carburants capables de stocker d’importantes quantités d’énergie dans leurs liaisons chimiques.
Pour réussir leur transition écologique, les puissances industrielles du monde entier se lancent dans la course aux poids lourds électriques. Leurs entreprises espèrent ainsi accélérer le déploiement d’infrastructures de distribution d’énergie pour pouvoir ensuite imposer leur propre technologie électromobile.
La majorité des voitures en circulation dispose toujours de vieux et volumineux éclairages à incandescence, très éloignés des performances octroyées par les phares luminescents « xénons ». Cet anachronisme s’apprête à disparaître avec l’arrivée de nouvelles diodes lumineuses révolutionnaires.
L’hydrogène est en mesure d’apporter à l’ensemble de nos mobilités une forme de virtuosité écologique inédite. Pourtant aujourd’hui encore, tout reste à faire pour déverrouiller la croissance de cette filière en lui ôtant ses faiblesses.
Cette année encore, la concentration de particules dans notre atmosphère est en diminution constante mais reste supérieure aux recommandations de l’OMS de 2006. Leur omniprésence dans notre biosphère inquiète à juste titre, pourtant des solutions sont déjà en place pour réduire leurs impacts sanitaires.
La transition écologique favorise la voiture électrique, mais les performances techniques et environnementales de la génération actuelle sont compromises par ses batteries. D’ici à 2030, une technologie permettrait de concilier écologie, avantages de l’électrique et du thermique : la pile à combustible.