Depuis la mi-décembre, ils font parler d’eux. Ceux-là sont les véhicules de transport avec chauffeurs, des chauffeurs chauffés à blanc par leurs conditions de travail. Et notamment celles imposées par l’enseigne Uber à ses ouailles. Résultat, l’accès aux deux aéroports parisiens que sont Orly et Roissy est d’un coup d’un seul devenu un parcours du combattant, parfois au sens propre car des violences ont été constatées sur les sites. Depuis, c’est le calme. La magie de la trêve des confiseurs ?
C’est un intéressant point de vue qui est développé dans les colonnes du Figaro par un Éric Verhaeghe auteur d’un ouvrage « Ne t'aide pas et l'État t'aidera », paru en janvier de cette année aux éditions du Rocher. Il réagit à l’hystérie qui a saisi ces dernières semaines une classe politique de gauche convertie à l’écologie punitive et habité par un mépris d’une petite classe moyenne française en son temps qualifié de « sans dents » par le Président et bientôt sans voiture. Car c’est cette masse laborieuse qui va se retrouver d’ici huit ans sans moyen de locomotion.
Cette année, l'organisme indépendant Euro NCAP a envoyé 18 voitures particulières dans le mur. Il vient d'en distinguer trois dans des catégories où plusieurs autos ont été crashées : la Toyota Prius, la Hyundai Ioniq et le Volkswagen Tiguan.
On sait qu’après avoir bu il ne faut pas dépasser un taux d’alcoolémie sous peine d’être en infraction. Demain, sera-t-on verbalisé parce que l’on n’aura pas eu assez d’heures de sommeil ? Le réveil serait dur et une telle mesure ferait le lit d’une descente de mécontents dans la rue. Un cauchemar éveillé qui n’est pas près d’arriver. Cependant, des scientifiques ont démontré qu’un manque de sommeil pouvait être aussi dangereux au volant qu’une consommation abusive d’alcool.
Voilà un document qui risque de ne pas plaire du tout aux auto-écoles de France. Nos confrères du Figaro ont en effet dévoilé un papier confidentiel recensant les taux de réussite de toutes les auto-écoles de France. La meilleure affiche un taux de 95 %, mais de nombreuses disparités apparaissent et sont surtout dues aux conditions de l'examen : milieu rural ou urbain.
C’est une situation qui perdure avec de fâcheuses conséquences pour le citoyen lambda. Rejoindre un des deux aéroports parisiens pour s’en aller retrouver les siens, et jouir, avec eux, des fêtes de Noël après une dure période de labeur, s’annonce en effet compliqué. Car les VTC sont toujours en colère et regrettent un régime général d’activité qui est pourtant le fondement même de leur existence. Sinon, ils seraient des taxis. Pendant ce temps, Uber, qui est la cible principale, campe sur ses positions tandis que l’État se demande ce qu’il pourrait bien faire pour sortir de cette galère.
Cette nouvelle cabine détecte les conducteurs en contresens. Elle a été installée au niveau d'un péage où des automobilistes font délibérément demi-tour pour éviter de se retrouver sur la portion payante.
Ce n'est pas la fin. Ce n'est même pas le commencement de la fin, mais, c'est peut-être la fin du commencement disait l’autre à une période plus troublée. Une vue d’esprit qui pourrait bien être appliquée à cet événement dans un monde industriel et commercial dominé par une constante : la victoire de l’Allemagne sur la France. Sauf que là, les tricolores ont dominé leurs voisins d’outre-Rhin au point qu’ils ont été contraints de fermer une usine sous la pression de la concurrence française.
Après avoir imposé l'ESP et l'appel d'urgence aux secours, la Commission Européenne propose de rendre obligatoire une dizaine de dispositifs actifs et passifs, comme le freinage d'urgence automatique avec la détection des piétons.
Chaque année, c'est la même rengaine : nous nous y prenons à la dernière minute pour terminer les achats de Noël. À se demander si pour certains, ce n'est pas volontaire et assumé car cela fait partie de l'ambiance des fêtes de fin d'année, comme les embouteillages lors du chassé-croisé estival.
Dans la rubrique Pratique