Alors que le fameux « FSD » fait toujours beaucoup parler aux Etats-Unis, on apprend que son prix va encore augmenter.
Cette étude suédoise va faire plaisir aux allergiques des nouvelles voitures bourrées d'écrans tactiles. Elle prouve que les bons vieux boutons physiques sont plus faciles à opérer que les commandes virtuelles.
Le titre est quelque peu provocateur, mais c'est l'idée. En effet, depuis le 6 août, les applications "d'assistance aux déplacements", comme Waze ou Google Maps, se doivent de vous encourager à ne pas prendre la voiture, et doivent proposer des trajets alternatifs, souvent plus longs en temps, pour moins consommer, moins rejeter de CO2 et donc, être plus écologiques.
Nouveauté chez Coyote. Alors que jusque-là c'était impossible, la communauté d'utilisateurs peut désormais signaler les erreurs dans les limitations de vitesse.
Comme chaque année, le groupe vient de décerner ses trophées à sept start-up avec qui la galaxie de 14 marques développe de nouveaux systèmes. Des récompenses qui permettent de deviner, en partie, quels équipements équiperont les Jeep, DS ou Citroën de demain et d'après demain.
Alors que dans le monde plus de 75 000 Porsche Taycan, toutes variantes confondues, ont été vendues, la marque sportive de Stuttgart leur offre une mise à jour logicielle. Ceci afin de permettre aux clients de disposer des dernières avancées technologiques de leur véhicule électrique.
Un documentaire explore les travaux pharaoniques que différents pays ont menés pour construire leurs milliers de kilomètres d'autoroutes. Des programmes qui ont contribué à la richesse et à la croissance des pays occidentaux au XXe siècle. Un souvenir du passé ?
Leur syndicat a fait ses comptes. D'ici 2030, les affaires des équipementiers, du moins celles qui concernent les pièces de rechange, seront plutôt satisfaisantes. Et même dans le cas d'une hypothèse ou dans 8 ans, 40 % des voitures vendues seraient électriques, ils pourraient bien engranger 14 milliards de chiffres d'affaires d'ici-là et même bien au-delà.
Réunis il y a quelques jours à Lille, les spécialistes de la cybersécurité se sont penchés sur le capot de nos voitures. Et si le hacking des clés sans contact intéresse peu les constructeurs, le piratage des options qu'ils font payer à leurs clients semble les passionner beaucoup plus.
À partir du 30 juin prochain, les particuliers qui disposent d'une wallbox ou d'une prise de courant extérieure accessible pourront proposer à des possesseurs de voitures électriques de venir se recharger à leur domicile moyennant finances. C'est l'appli Shargy, crée par le groupe Volkswagen, qui se charge de l'opération.
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