
La chute progressive et constante des ventes de véhicules diesels aura forcément, tôt ou tard, des effets néfastes sur les sous-traitants des constructeurs et équipementiers spécialisés dans cette motorisation. C'est ce qui explique en partie la hausse de 10 % des taxes sur le gazole l'an prochain, afin d'accompagner la filière diesel, comme l'a confirmé hier le ministre des Finances.