Dans le nouveau classement des marques les plus puissantes du monde, le premier constructeur automobile se situe à la sixième place. Mais loin derrière les plus grosses entreprises de la « tech ».
L’échéance approche : entre 2031 et 2036, les contrats liant l’État aux sociétés autoroutières viennent à expiration. Un rapport du Sénat pointe les défauts des concessions actuelles et préconise quelques pistes pour les futures conventions, à l’exclusion d’une nationalisation.
Craignant que les décisions européennes nuisent à ses affaires dans l'Empire du Milieu, la firme Munichoise invite l’Allemagne à voter contre des droits de douane plus élevés sur les véhicules électriques fabriqués en Chine.
L'INFO DU JOUR - Le pétrolier saoudien a enfin pris une participation dans Horse, l'entité de Renault destinée aux moteurs thermiques. Une prise de captal moins importante que prévu. Explications.
Si la turbulence n'est que passagère pour le groupe allemand, la situation de l'entreprise américaine est plus dramatique. Reste que la coentreprise que les deux constructeurs ont scellée cette semaine constitue un appel d'air pour l'un comme pour l'autre. Même si elles ne sont pas tirées d'affaire pour autant.
Cousine de Volvo et Geely, la marque Polestar du groupe Geely passe un début d’année très compliqué. Elle voit ses ventes baisser et cache sa comptabilité, au risque de se faire exclure de la bourse américaine.
Après le gros succès du leasing social aidant à louer des voitures électriques, les concessionnaires demandent maintenant à l’Etat de régler la facture. Et il y a beaucoup de dettes…
Le constructeur japonais vient de livrer ses résultats et ils sont stratosphériques. Avec un bénéfice de 32 milliards de dollars, celui que l'on pensait à la traîne de la révolution électrique a creusé le sillon de l'hybride, et bien lui en a pris.
Les États-Unis ne sont plus un eldorado pour les marques européennes. Elles vont devoir s'adapter aux tarifs syndicaux, et voient leurs ventes baisser dans un pays pourtant essentiel à leur chiffre d'affaires.
En 2023, l'État a récolté plus de 2 milliards d'euros avec les amendes envoyées par le Centre de Rennes, dont la moitié sans doute via les seuls radars automatiques. Le niveau, haut, atteint en 2017 est ainsi retrouvé, ou presque, après les Gilets jaunes et la crise Covid. Pour la Cour des Comptes, ces recettes restent potentiellement aléatoires compte tenu du changement climatique et des politiques associées. Elles ne permettent surtout pas d'établir un lien avec l'amélioration de la Sécurité routière, ce qui est pourtant leur but. Décryptage.
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