Dans la capitale, la verbalisation du stationnement a été sous-traitée à des opérateurs privés, dotés de voitures avec un radar. Conséquence : le nombre de contraventions a explosé en quelques jours.
Si, chez Volkswagen, on a sorti les tireuses à bière pour célébrer la future annonce d’une première place mondiale chez les constructeurs automobiles, chez les compatriotes BMW, on sable le champagne. Normal lorsque l’on se présente comme le plus grand fabricant au monde d'automobiles premium avec les marques BMW, Mini et Rolls-Royce. On change de statut mais la dynamique du succès est la même. Et elle s’apprécie d’autant plus que l’on bat le grand rival Daimler.
Il n’y a pas que les pays émergents qui attirent les constructeurs automobiles. Être une nation déjà industrialisée, ce n’est pas être condamnée à l’obsolescence programmée. La preuve avec les États-Unis qui se remettent du traumatisme du déclin d’une ville de Detroit autrefois toute puissante dans le monde des voitures. Celui-ci prend racine ailleurs et notamment dans un Sud-Est qui se donne les moyens de séduire. Et qui, en plus, à une approche particulière du domaine social puisque les syndicats, jugés « néfastes » pour la prospérité par les responsables politiques, sont quasiment absents. Mazda et Toyota, comme d’autres, l’ont bien compris…
Hyundai rejoint ses homologues et néanmoins concurrents dans une diversification de ses activités. Il faut s’en persuader, un constructeur automobile n’est plus simplement un assembleur de voitures qui alimente une gamme que l’on peut acquérir dans des concessions. C’est aussi un acteur majeur de la nouvelle mobilité qui fait du véhicule un élément parmi d’autres d’un service à rendre. En ce sens les investissements des marques dans les sociétés de véhicule de transport avec chauffeur font florès. Et Hyundai est le dernier en date à entrer dans la danse.
Depuis le 1er janvier, une prime à la casse est accordée à ceux qui se débarrassent d'un (très) vieux véhicule. Bonne nouvelle, des constructeurs proposent des aides supplémentaires, jusqu'à 2 000 €.
La grande critique avancée pour contester le bien-fondé de la mesure sur l'abaissement de la vitesse autorisée sur le réseau secondaire, en passe d'être adoptée par le gouvernement, est qu'elle sert surtout à multiplier les amendes, et ainsi à renflouer les caisses de l'État. Que sait-on exactement des trois tronçons expérimentés durant deux ans ? Pour ce qui est de l'accidentologie, pas grand-chose en effet. En revanche, une certitude : selon les statistiques récupérées par Caradisiac, c'est le jackpot systématique pour les cabines installées sur ces trois itinéraires, avec quatre fois plus de PV !
Le Premier Ministre l'a enfin officialisé : la limitation de vitesse va passer de 90 à 80 km/h sur les départementales le 1er juillet 2018. Un bilan sera fait au bout de deux ans, avec la possibilité de remettre en cause la mesure si celle-ci n'a pas fait ses preuves.
Le gouvernement pourrait annoncer en fin de journée, à l'issue du Conseil Interministériel de Sécurité Routière, un durcissement des sanctions pour ceux qui téléphonent en conduisant.
Il y a treize ans, Carlos Ghosn ne voulait pas importer la marque en France. Aujourd'hui, la Dacia Sandero est la voiture neuve la plus vendue aux particuliers. Faut-il s'en féliciter ? S'en désoler ? Les deux…
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