
L'un des dirigeants de Volkswagen aux Etats-Unis avait été arrêté quelques mois après la sortie de l'affaire du dieselgate, dans l'attente d'un procès qui pourrait lui coûter quelques années de prison. Lors d'une récente audience, Olivier Schmidt a carrément reconnu que la direction de l'époque lui avait demandé de mentir.