Lancée sur le marché ce 29 mars, la Peugeot 208 est un modèle majeur dans la stratégie de la firme sochalienne. Focus sur les objectifs de ventes de la polyvalente au lion pour les deux prochaines années.
La Peugeot 208 succède à la 207 qui avait commencé sa carrière il y a déjà six années, en 2006. Elle se situe sur le segment B des citadines polyvalentes, qui représente environ 30% des ventes en Europe, et 40% en France. Les enjeux demeurent donc énormes, d'autant plus que la concurrence s'est étoffée au fil des années avec des rivales telles que la Kia Rio, la Toyota Yaris, la Volkswagen Polo et bien entendu la Renault Clio. On compte désormais une petite trentaine de modèles sur le segment, ce qui n'était pas le cas à l'époque de la 206.
Pour 2012, Peugeot a pour objectif d'écouler 265 000 unités à travers le monde, dont 91 000 dans l'hexagone, tandis qu'en 2013 la firme sochalienne s'est fixée pour but les 550 000 exemplaires. Sur ces 550 000 exemplaires, il devrait s'en écouler 420 000 en Europe et 130 000 dans le reste du monde. La France représentera à elle seule un-quart de la totalité des ventes. La moitié des modèles vendus le seront en diesel, ce chiffres passe à 60% pour le marché français.
Fort de nombreux arguments, la Peugeot 208 se trouvera sûrement très vite sur le haut du podium des ventes de sa catégorie sur le marché français. Renault va devoir riposter au plus vite en dévoilant sa Clio 4...
Pour rappel la Peugeot 208 débute à 11 950 euros avec le trois cylindres essence 1.0 VTi de 68 (disponible dès cet été) en version trois portes et en entrée de gamme Access. Il faut compter 21 850 euros pour la déclinaison cinq portes en finition haut de gamme Féline et dotée du diesel 1.6 e-HDi de 115 ch.
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