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Elégance et 6-en-ligne, les BMW 435i/440i sont des beautés encore abordables

Finement dessinées et puissamment motorisées, les BMW 435i et 440i proposent une alliance de qualités en voie de disparition, en cette ère d’électrification galopante. On peut commencer à préserver les beaux exemplaires. Dès 19 000 €.

Elégance et 6-en-ligne, les BMW 435i/440i sont des beautés encore abordables

Les collectionnables sont des autos revêtant un intérêt particulier, donc méritant d’être préservées. Pas forcément anciennes, elles existent pourtant en quantité définie, soit parce que le constructeur en a décidé ainsi, soit parce que leur production est arrêtée. Ensuite, elles profitent de particularités qui les rendent spécialement désirables : une motorisation, un châssis, un design, ou un concept. Enfin, elles sont susceptibles de voir leur cote augmenter. Un argument supplémentaire pour les collectionner avant tout le monde !

Après elle, la lourdeur. La Bmw Série 4 F32 mérite sa place au panthéon du design BMW. En effet, elle réalise une synthèse particulièrement heureuse entre fonctionnalité et finesse, agressivité et élégance. Grand succès commercial, elle est remplacée par une autre série 4 en 2020, pas laide mais qui s'auto-caricature avec ses rognons de calandre démesurés, tout en croyant intelligent d'inverser le pli Hofmeister, typique de marque. Elle inaugure l'ère du pâté en croûte au pays de la saucisse. L'ancienne F32, au dessin autrement subtil, permet aussi d'accéder au mythique 6-en-ligne BMW à un prix acceptable, chose impossible aujourd'hui en neuf à cause de la délirante Ecotaxe française. Celle-ci a pour conséquence de raréfier l'offre en occasion récente, tout en en gonflant exagérément les prix. Conséquence, la cote de la génération F ne baisse pour ainsi dire pas, ce qui renforce son attrait...

Révélée au printemps 2013, la BMW Série 4 reprend l'avant de la Série 3 dont elle constitue en quelque sorte la variante coupé. Mais tout le reste de la carrosserien travaillée en finesse, est différent.
Révélée au printemps 2013, la BMW Série 4 reprend l'avant de la Série 3 dont elle constitue en quelque sorte la variante coupé. Mais tout le reste de la carrosserien travaillée en finesse, est différent.

On ne peut pas dire que l’évolution stylistique des  BMW soit un long fleuve tranquille. Après une ère Bangle très décriée, les autos bavaroises sont revenues à un design consensuel, qui a connu une apogée avec la Série 4, commercialisées en juin 2013.

Dérivant de la Série 3 F30, elle s’en distingue par sa carrosserie totalement différente et bien plus élégante. D’abord proposée en coupé deux portes, la Série 4 bénéficie d’emblée dans sa version 435i d’un beau 6-cylindres essence, le N55 de l'ancienne 335i LCI, uniquement suralimenté certes, mais paré des dernières technologies.

La BMW Série 4 F32 se signale par une poupe fuyante, presque fastback, même si elle se passe de hayon. En 435i, le Cx ressort à 0.30, une valeur appréciable mais pas exceptionnelle. 
La BMW Série 4 F32 se signale par une poupe fuyante, presque fastback, même si elle se passe de hayon. En 435i, le Cx ressort à 0.30, une valeur appréciable mais pas exceptionnelle. 

Distribution entièrement variable, injection directe, pompe à huile pilotée : de quoi développer 306 ch pour 400 Nm (dès 1 200 tr/min !) et offrir de grosses performances tout en modérant la consommation. 250 km/h au maxi, 0 à 100 km/h en 5,1 s avec la boîte auto ZF à 8 rapports optionnelle et 7,9 l/100 km en moyenne annoncée en BVM (et 7,6 l/100 km avec la BVA).

Avec des trains roulants peaufinés (voies élargies), un centre de gravité abaissé face à la Série 3, de gros freins pincés par des étriers à 4 pistons, et une répartition des masses égale entre l’avant et l’arrière, la 435i rassure, et si ça ne suffit pas, une transmission intégrale xDrive est proposée en supplément (permettant d’abaisser le 0 à 100 km/h en 4,9 s !). On trouve aussi un amortissement piloté dans la liste (longue) des options.

Au printemps 2013, la BMW inaugure la Série 4, une série de coupés de milieu de gamme, aux carrosseries variées. La première ne compte que deux portes.
Au printemps 2013, la BMW inaugure la Série 4, une série de coupés de milieu de gamme, aux carrosseries variées. La première ne compte que deux portes.

Pour autant, l’équipement de série est déjà riche : clim auto bizone, sièges à réglages électriques, projecteurs au xénon, régulateur de vitesse… Plusieurs finitions sont proposées : Lounge en entrée de gamme, plus les Sport et Luxury (comprenant notamment GPS, clim trizone, radar de stationnement avant), se différenciant surtout par l’ambiance proposée. Quant à elle, la M Sport intègre la suspension affermie et le kit aéro. Les prix débutent à 49 950 € pour la Lounge (soit 60 200 € actuels), ce qui est beaucoup mais pas excessif.

En octobre 2013, la BMW Série 4 Cabriolet apparaît, dotée d'un toit dur en 3 parties, qui se déploie ou se rétracte en une vingtaine de secondes.
En octobre 2013, la BMW Série 4 Cabriolet apparaît, dotée d'un toit dur en 3 parties, qui se déploie ou se rétracte en une vingtaine de secondes.

Dès octobre 2013, la Série 4 se décline en cabriolet doté d’un toit dur rétractable ajoutant 240 kg (total de 1 740 kg) mais combiné les avantages d’un coupé et d’une découvrable. Quelques mois plus tard, en mai 2014, une très élégante variante à 5 portes apparaît, la Gran Coupé, dotée en sus d’un hayon très pratique. En mars 2016, les 435i disparaissent. Pourquoi ? Parce qu’en vertu de leur nouveau moteur, elles changent d’appellation : ce sera 440i désormais.

Toit levé, la BMW Série 4 devient un coupé, mais avec en perdant la poupe fuyante du modèle à toit fixe. Et ça ne lui va pas mal.
Toit levé, la BMW Série 4 devient un coupé, mais avec en perdant la poupe fuyante du modèle à toit fixe. Et ça ne lui va pas mal.

Sous le capot s’installe un 6-en-ligne tout nouveau, le B58, bien différent du N55. De type « closed deck », il ferme le haut de son bloc-cylindres, et pose dessus une culasse, dotée de son propre circuit de refroidissement, le tout pour une meilleure rigidité. Plus puissant (326 ch), ce groupe modère aussi sa consommation (dès 7,2 l/100 km), alors que les performances progressent très légèrement (- 0,1 s sur le 0 à 100 km/h).

En janvier 2017, après 400 000 unités vendues (tout de même !), la Série 4 bénéficie d’un léger restylage, touchant à l’éclairage extérieur (désormais à LED), aux boucliers et la décoration intérieure. Des détails, qui permettront tout de même à cette génération de Série 4 de durer jusqu’en 2020.

En mai 2014, BMW Commercialise la Série 4 Gran Coupé, un coupé à 5 portes doté d'un hayon fort pratique.
En mai 2014, BMW Commercialise la Série 4 Gran Coupé, un coupé à 5 portes doté d'un hayon fort pratique.

Combien ça coûte ?

A fort kilométrage (environ 200 000 km), comptez un minimum de 19 000 € pour un coupé 435i bien entretenu et d’origine (pas si courant). A 22 000 €, on s’offre un exemplaire de moins de 150 000 km, et à 25 000 €, on tombe sous les 100 000 km, alors qu’à 28 000 km, on se rapproche des 50 000 km. Les prix varient étonnamment peu selon la carrosserie.

En revanche, l’état et surtout la configuration auront une plus grande influence, les M Sport étant plus valorisées. La présence de la hifi, des grandes jantes, du toit ouvrant et du cuir, notamment, jouent aussi nettement sur les sommes demandées. Les 440i, plus récentes et attractives, sont aussi nettement plus chères : rehaussez le minimum aisément de 4 000 € à 5 000 €.

En 2017, après avoir reçu le 6-cylindres B58 qui a transformé la 435i en 440i, la Série 4 bénéficie d'un léger restylage, touchant à l'éclairage, aux boucliers et à la décoration intérieure. Une instrumentation digitale fait son apparition.
En 2017, après avoir reçu le 6-cylindres B58 qui a transformé la 435i en 440i, la Série 4 bénéficie d'un léger restylage, touchant à l'éclairage, aux boucliers et à la décoration intérieure. Une instrumentation digitale fait son apparition.

Quelle version choisir ?

Pour un rapport qualité prix optimal, une 435i fera l’affaire, à condition d’avoir été rigoureusement entretenue et laissée dans son état d’origine. La carrosserie ? Ce sera une question de préférence personnelle.

Il faut vraiment regarder les projecteurs de la BMW Série 4 de près pour remarquer les modifications qu'ils ont reçues lors de la mise à jour de 2017.
Il faut vraiment regarder les projecteurs de la BMW Série 4 de près pour remarquer les modifications qu'ils ont reçues lors de la mise à jour de 2017.

Les versions collector

Potentiellement toutes, si, là encore, elles sont en parfait état d’origine. Comme les Série 4 sont assez nombreuses sur le marché, privilégiez les facteurs de rareté, comme un très faible kilométrage, un historique limpide et une configuration originale (coloris, options nombreuses).

Le bloc N55 de la 435i, ici en 2013, est solide mais souffre de pannes périphériques. Contrairement à ce qu'annonce BMW, la boîte automatique nécessite d'être vidangée.
Le bloc N55 de la 435i, ici en 2013, est solide mais souffre de pannes périphériques. Contrairement à ce qu'annonce BMW, la boîte automatique nécessite d'être vidangée.

Que surveiller ?

Fondamentalement, ces BMW sont très fiables, mais pas sans faiblesses, surtout les 435i. En effet, le moteur reste capable de très forts kilométrages, mais demande une attention plus soutenue. Par exemple, ils pâtissent encore parfois d’une maladie bien connue chez BMW : des coussinets de bielles un peu faiblards. Certes, cela apparaît surtout sur les exemplaires « préparés » et aux vidanges trop espacées, mais on surveillera le phénomène car le résoudre coûte tout de même plus de 2 000 €.

Autres avaries possibles : les bobines d’allumage, les thermostats et pompe à eau ainsi que, de façon plus courante, la durit de suralimentation allant du turbo à la culasse. Celle-ci est aussi à vérifier sur les 440i, mais celles-ci s’épargnent toutes les autres avaries mentionnées : elles sont nettement plus fiables. Côté transmission, si BMW ne préconise pas de vidange, mieux vaut en effectuer, surtout sur les automatiques et les xDrive, à la boîte de transfert sensible.

Avant 80 000 km, c’est l’idéal, sinon, les cas de rupture de cette dernière ne sont pas si rares. Pas de soucis particuliers ou récurrents à signaler dans l’habitacle, bien réalisé, même si quelques bugs électroniques peuvent toujours se manifester.

Moteur performant, comportement routier efficace et rassurant, confort certain, la BMW 435i, ici une xDrive en 2013, cumule les qualités mais la sonorité de son moteur déçoit un peu...
Moteur performant, comportement routier efficace et rassurant, confort certain, la BMW 435i, ici une xDrive en 2013, cumule les qualités mais la sonorité de son moteur déçoit un peu...

Sur la route

J’ai pu tester assez longuement un coupé 435i xDrive de 2013. Une bien jolie auto ! A l’intérieur, on retrouve la planche de bord de la Série 3 F30, une belle pièce, à la fois stylée et bien réalisée. Les sièges sont parfaits (si on a opté pour le réglage lombaire électrique, attention) et la position de conduite tout autant. Le 6-en-ligne se réveille dans un joli son, et d’emblée, la douceur mécanique surprend en bien. La boîte change de rapport presque insensiblement, et en conduite tranquille, on se sent relaxé. La suspension filtre correctement les inégalités, le niveau sonore reste très bas...

Belle présentation, finition de qualité et équipement riche caractérisent la BMW 435i, même si le réglage lombaire reste en supplément...
Belle présentation, finition de qualité et équipement riche caractérisent la BMW 435i, même si le réglage lombaire reste en supplément...

Mais on a 306 ch sous le pied droit ! Alors, on l’enfonce, et là, la 435i change de visage. Elle administre des accélérations impressionnantes, mais surprend encore plus par la vigueur de ses reprises. Des chronos de sportive ! La boîte, vive et rapide, seconde idéalement le moteur, surtout en mode Sport, où la réactivité mécanique se trouve renforcée et la direction affermie. Celle-ci ne déborde pas de feedback, mais elle se révèle précise, tout comme le train avant.

Coupé, la BMW 435i en est un, mais en conservant de belles places arrière ainsi qu'un coffre spacieux : 445 l. Les dossiers se rabattent.
Coupé, la BMW 435i en est un, mais en conservant de belles places arrière ainsi qu'un coffre spacieux : 445 l. Les dossiers se rabattent.

Rigoureux, le châssis autorise une exploitation sereine de la cavalerie, et si on s’y prend bien, on peut faire survirer la 435i en sortie de virage, avec les gaz, malgré la transmission intégrale. Un ensemble homogène et captivant, même si la sonorité du 6-en-ligne déçoit quelque peu. Quant à la consommation, elle peut tomber à 9 l/100 km si on roule tranquillement. Ce qui est difficile…

 

L’alternative youngtimer

BMW 325i/328i Coupé et Cabriolet E36 (1992 – 1998)

Grande élégance pour le coupé BMW 325i E36, qui ne partage aucun embouti avec la berline. Il est apparu en 1992.
Grande élégance pour le coupé BMW 325i E36, qui ne partage aucun embouti avec la berline. Il est apparu en 1992.

Quand on parle de rupture stylistique chez BMW, impossible de ne pas mentionner la Série 3 E36, qui a renouvelé adroitement le design de la marque en 1991. Très équilibrée et homogène néanmoins, elle se pare d’une grande élégance quand elle se décline en coupé, dès 1992. Toute en finesse, la carrosserie flatte le regard, et il en va de même pour le cabriolet lancé en 1993.

Le tout se complète d’un excellent 6-en-ligne 2,5 l de 192 ch, performant et musical, animant la variante 325i. Celle-ci jouissant d’un châssis rigoureux (essieu arrière multibras), l’agrément de conduite est intense… mais la finition nettement perfectible. Cela évolue fin 1994 quand cette Série 3 bénéficie d’un léger restylage et d’un moteur porté à 2,8 l (193 ch). Plus aboutie que jamais, la 328i accompagnera la Série 3 E36 jusqu’à son remplacement par l’E46, finalisé en 1998. A partir de 10 000 €.

 

BMW 435i F32 (2013), la fiche technique

  • Moteur : 6 cylindres en ligne, 2 979 cm3
  • Alimentation : injection directe, turbo à double volute
  • Suspension : jambes McPherson, ressorts hélicoïdaux, barre antiroulis (AV) ; essieu multibras, ressorts hélicoïdaux, barre antiroulis (AR)
  • Transmission : boîte 6 manuelle ou 8 auto, propulsion ou 4 roues motrices
  • Puissance : 306 ch à 5 800 tr/min
  • Couple : 400 Nm à  1 200 tr/min
  • Poids : dès 1 510 kg
  • Vitesse maxi : 250 km/h (donnée constructeur)
  • 0 à 100 km/h : dès 5,2 secondes (donnée constructeur)

> Pour essayer de trouver des annonces de BMW 435i-440i F32-36, rendez-vous sur le site de La Centrale.

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Avis Bmw Serie 4 F32

Serie 4 F32 (F32) COUPE 440IA 326 M SPORT (2016)

Par human le 03/01/2021

Cela fait plus d'un an et demi que je possède ma 440i coupé F32. Je me retourne toujours à chaque fois que je m'en éloigne tant son design est réussi, sous tous les angles (chose qui ne risquerait pas d'arriver si je la remplaçais par son successeur...)A conduire, c'est un régal. Le 6 cylindres est fantastique, la boîte ZF enchaîne les rapports sans faille et sans brutalité. La propulsion ne se fait sentir que positivement.C'est une voiture qui se conduit très facilement et sobrement en eco pro ou confort, et qui se transforme en monstre quand on veut se faire plaisir. Sur autoroute, c'est un palace.Les modes de conduite sont bien programmés, bien que j'aurais aimé qu'ils soient personnalisables car je n'aime pas la direction trop souple des modes confort et eco pro. Sport est vraiment le mode qui lui va le mieux (qui me va le mieux, en tous cas). L'instrumentation analogique classique BMW est parfaitement lisible. iDrive et les touches de raccourcis programmables sont ultra-pratiques. Pas de noir laqué qui prends les traces de doigts. Le volant M est réussi. Elle a beaucoup d'options BMW Individual qui l'embourgeoisent (cuir merino, tableau de bord et contre-portes en cuir, inserts, peinture spéciale) et qui la rendent impossible à confondre avec une "vulgaire" série 3 blanche intérieur alcantara. Le maintien latéral des sièges réglable est pratique pour les petits gabarits. L'espace à l'arrière est suffisant même pour des adultes (bien plus d'espace que dans une série 8 ?!) et le coffre suffisamment grand pour le cadavre d'un humain de taille standard. BMW m'avait imposé des pneus runflat, je ne recommande vraiment pas.Conso raisonnable, considération faite de la puissance du véhicule. Moins de 8L sur autoroute, 11/12L en ville, et autour de 9,5L sur route.Au final, avec les séries 2 et 3, probablement l'une des dernières "vraies" BMW : propulsion, 6 cylindres, long capot, design fidèle à la marque, compteurs oranges, vrais pots d'échappement, Hofmeister kink, etc.J'ai acheté cette voiture sans trop savoir combien de temps j'allais la garder. Plus les mois passent, plus je la conduis, plus il y a de nouveaux véhicules commercialisés (toujours plus compromis par le downsizing et la digitalisation), plus je me dis que je vais la garder encore de longues années.Au moment où j'écris ce commentaire, la remplaçante de la série 2 F22 n'a pas encore été présentée. Mon espoir repose dessus. Chers designers, l'audace n'excuse pas la laideur, ne vous plantez pas...

Serie 4 F32 (F32) COUPE 430DA 258 M SPORT (2014)

Par §Fla724qY le 21/07/2019

Issu d’une famille adorant la marque, j’ai pu m’offrir après une Mini Cooper SD et une Série 1 une série 4 430Da pack M.Le véhicule est tout simplement magnifique dans sa configuration : blanc, jante en 19 coupe 3 portes.Mon père et mon frère ont une M3 (e92-e46), de mon côté j’ai du faire le choix de la raison car ma femme s’en sert à titre professionnel pour ses déplacements et une vraie M aurait été trop coûteuse.Le moteur est juste fabuleux tout comme la boîte. Certainement le meilleur 6 cylindres diesel du marché.Ça marche très très fort et ça peut se conduire pépère au besoin.La notre dispose de quasiment toutes les options (affichage tête haute, son HK, alarme cobra, sièges chauffants, toit ouvrant, xénon, plein phares auto, caméra de recul 360 etc), l’équipement est très complet (heureusement vu les 68000€ qu’elle valait neuve).L’espace à bord est très bon pour les 4 places qu’elle propose, je la trouve juste un poil trop longue et parfois pas facile à manœuvrer en ville (dommage, à l’inverse la série 2 est trop courte pour moi).Pour les adeptes du downsizing, il est très facile de descendre sous les 5l de consommation en extra-urbain en conduisant cool. Quand je pense que notre Ibiza neuve consomme plus (certes essence mais moteur 1L) ça laisse à relativiser.Si je devais lui donner un petit défaut, ce serait la complexité pour accéder aux places arrière qui nécessite que le siège soit avancé/incline dans une certaine mesure pour ne pas toucher le ciel de toit.Autrement, l’essayer c’est en vouloir une. Une vraie sportive avec un très beau bruit (même si ça reste un mazout) et une gueule d’enfer.Et quel plaisir de ne pas en croiser à tout les coins de rue au contraire de tout ces SUV

Serie 4 F32 (F32) 430DA XDRIVE 258 M SPORT (2018)

Par §BMW244CC le 08/02/2018

Client BMW de longue date, après une 420 d MSport 190 (moteur B47) qui m’a donné pleinement satisfaction après 2 ans et 40000 km, et zéro panne ; J’ai décidé de faire le pas vers une nouvelle 430 d XDrive MSport.Cette 420d était déjà une voiture très homogène, économique, et suffisamment performante pour se faire retirer son permis de conduire, même si ce n’est pas évidement une pure sportive…Juste avant cette 420 d, j’avais acquis une 125i MSport F20 (moteur N20) ; Donc goûté aux nouvelles générations de moteur ‘’Downsizing‘’ 4 cylindres de la marque diesel & essence ; et j’avoue que l’onctuosité et la musicalité d’un 6 cylindres m’ont toujours beaucoup manqué ; même si ces nouveaux 4 cylindres font bien leur job dans l’absolu ; Mais le plaisir de conduite (cher à la marque) n’est vraiment pas le même…Je possède la toute dernière évolution de la série 4, même si les différences esthétiques ne sautent pas forcément aux yeux aux premiers abords ! Le dessin des feux avant LED ont été redessiné, ainsi que les optiques arrières qui sont à présent en Full LED, avec un look incontestablement plus agressif ! A l’intérieur, ce sont juste d’infimes détails esthétiques, comme certains plastiques noirs laqués, ou la partie moussée haute du tableau de bord avec de jolies surpiqures, qui donne un aspect plus valorisant et Premium au véhicule !Après, plusieurs BMW en couleur classique ‘’ Alpin Weiss ‘’, j’ai osé changer un peu avec une nouvelle teinte plus dynamique, Snapper Rocks Blau, qui est un bleu métallisé ‘’ Topaze’’ tirant vers le vert, selon la luminosité !Cette teinte se marie très bien à un coupé 3 portes sportif, et qui change un peu des classiques, noirs, gris ou blancs, vus un peu partout…Je préfère à titre personnel le Look de la version coupé F32 par ses proportions harmonieuses ; après je pense que la version 5 portes F36 aura probablement plus de succès, par le côté praticité de ses 5 portes et de son coffre à hayon.Ayant eu, il y a longtemps (2008) un 330d Xdrive245 cv. Je retrouve tout l’agrément de ce 6 cylindres en ligne, avec encore une plus belle musicalité moteur, plus de punch à tous les étages, des consommations encore plus réduites (6 à 7 litres), malgré un moteur encore en rodage. Je pense que le progrès spectaculaire réside dans sa nouvelle BVA 8 Sport, à rapports courts, qui fait que la boîte reste toujours au bon rapport, avec une réactivité tout simplement incroyable. Franchement l’ensemble moteur 6 cylindres en ligne diesel et BVA 8 Sport est tout simplement bluffant !Au niveau châssis, le Xdrive reste très typé propulsion (et c’est tant mieux !), avec une direction un peu plus consistante que la simple version propulsion, et le 4 RM semble aussi être mieux géré que mon ex 330 E90 Xdrive, permettant d’avoir à la fois le plaisir d’une propulsion, et la sécurité quelque soit le temps. Aux risques de déplaire à certains puristes, même la future M5 devrait bientôt s’équiper du XDrive, avec par contre la possibilité de passer en pur mode propulsion, et de choisir entre conduite plus ‘’ Fun ‘’ ou plus ‘’ Sécuritaire ‘’, et d’avoir deux autos en une…Mon ex 420d propulsion se montrait particulièrement rassurante, que ce soit sur le sec ou la pluie. Le XDrive permet à la fois une meilleure motricité ; Ce qui est judicieux avec une auto qui possède 560 Nm de couple, et offre une meilleure adhérence sur sol gras ou enneigé, mais aussi plus de stabilité dans les virages. Ce qui n’empêche pas bien entendu de s’équiper de pneus ‘’ Contact ‘’pour l’hiver, que ce soit propulsion, traction, ou 4RM.La suspension pilotée ‘’ Select Drive MSport ‘’ est très réussie ; Elle sait rester très confortable avec un amortissement parfait, et le véhicule ne prend aucun roulis. Elle peut devenir plus sportive en passant au mode ‘’ Sport ‘’ sur l’Idrive. C’est une option à conseiller, pour ceux recherchant à la fois efficacité et confort.La suspension ‘’ Direct Drive MSport ‘’ passive de mon ex 420 d, est un bon compromis entre Sport et confort ; Mais reste plus sèche à basse vitesse, et surtout sur les dos d’âne ; Elle est globalement moins confortable que la suspension active optionnelle.Les freins ‘’ MSport ‘’ à étriers bleus et disques sur dimensionnés, apportent réellement un meilleur freinage (en dehors de leur design sympa), bien utile sur un véhicule de ce poids et de cette puissance… Mais toujours le même souci chez BMW il faut toujours mettre la main au portefeuille pour avoir un véhicule bien équipé, avec certaines options très appréciables que j’ai prise, comme :Phares LED Adaptatifs et tournants, avec gestion code / phare automatique, le pack audio (Avec une chaine Hi-fi digne de ce nom de marque Harman Kardon pouvant lire des fichiers audio FLAC de Haute Qualité sur une clef USB ; la qualité de la sono de série est vraiment pathétique ;-)AppleCarePlay pour connecter son Iphone avec toutes ses fonctions.Connected Drive (BMW à distance, et GPS Professionnel avec remis à jour gratuite pendant 3 ans, alarme). Pack Innovation (Avec pack Safety anti collision, affichage à tête haute, tableau de bord black panel, feux de route anti-éblouissement, et indicateur de panneaux et de limitation de vitesse). Pack Simplicity (Rétroviseurs rabattables, caméra de recul sur coffre, ainsi que rétroviseurs extérieurs et ailes avant du véhicule, avec une vision ‘’ Surround View ‘’montrant le véhicule avec une vue style satellite, avec en plus radars avant et arrière, Park Assist, assistance pour garer la voiture).Pack Confort (Accès confort sans clef, sièges avant chauffants et électriques à mémoire, avec soutient lombaire ajustable).Sans parler des sièges en cuir, option valorisante sur ce type d’auto ; Mais honnêtement l’Alcantara de série sur les versions MSport est du plus bel effet et en fait peu fragile à l’usage, malgré mes craintes infondées à ce sujet…Le toit ouvrant électrique permettant d’illuminer un peu l’intérieur un peu austère du véhicule ; Les jantes 19 pouces sont enfin livrées d’origine sur cette version restylée, et par bonheur les pneumatiques ne sont pas plus onéreux à changer que ceux en 18 pouces, à mon grand étonnement.La caméra de recul n’est enfin plus optionnelle comme sur mon ex 420d, ce qui était un comble sur un véhicule de ce prix !Ayant fait le tour de toutes les motorisations existantes dans la gamme, je pense que ceux qui voudront lier à la fois, passion, raison, et agrément de conduite d’un 6 cylindres en ligne, la 430d restera le meilleur choix avec son 6 cylindres de 258 cv de base, son couple généreux, ses relances onctueuses, son silence, et ses consommations maîtrisées.De plus, pas vraiment de grosses inflations sur le coût d’assurance (en ce qui me concerne, une centaine d’euros de plus dans l’année) ; l’extension de garantie 5 ans, et les contrats d’entretien, sont identiquement au même tarif que mon ex 420d.La 430d demande à rajouter environs 5000€ supplémentaires (à version et options comparables) en rapport de la 420d 190cv MSport (voir configurateur BMW).Il existe aussi une version encore plus musclée sur la même base de moteur (435d Xdrive) ou 6 cylindres essence (440i) 3 litres également de cylindrée ; Mais le souci avec la nouvelle fiscalité française 2018, ce sont les coûts astronomiques de la taxe CO2 qui commencent à être vraiment dissuasive !En bref, une super auto vraiment quasiment parfaite ! Pour la fiabilité, trop récent pour dresser un bilan objectif ; Je dirais ‘’ Wait and See ‘’, mais pas trop inquiet, car les mécaniques sont déjà largement approuvées, et pas eu de soucis particuliers sur mes précédentes voitures.

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Par boella le 08/04/2025 à 17:01

Par Kepala le 25/02/2025 à 23:46

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