Avec 6 moteurs au catalogue et 2 transmissions, Volkswagen couvre l’ensemble des besoins. Du raisonnable avec le TDi 105 ch reconnu pour sa très grande sobriété au sensationnel avec le 1.4 TSi de 160 ch.

En média proche du consommateur nous nous sommes fait violence pour proscrire le TSi 160 ch et nous concentrer sur le TDi 105 ch qui sera vraisemblablement la version la plus écoulée. Ce bloc désormais répandu dans l’ensemble du groupe VW brille par sa sobriété. Il nous aura couté à peine 5,3 l/100 km sur les routes sinueuses de Corse. Pour ce qui est de l’agrément, il faudra repasser. Le peu de souffle du TDi à bas régime et ses reprises faiblardes nous obligent régulièrement à jouer du levier. Il nous console toutefois par son faible niveau sonore. La carburation essence est assurément la plus apte à distiller le maximum de sensations. Tout particulièrement le TSI 160ch. Energique, élastique mais jamais brutale, cet excellent moteur est sublimé par la DSG 7. Même constat, dans une moindre mesure avec la version 105 ch.

Essai vidéo - Volkswagen Golf cabriolet : welcome back

Volkswagen a su conserver les qualités dynamiques de la Golf tout en améliorant son niveau de confort


Destinée à la ballade, cette découvrable a été volontairement assouplie par le constructeur. Les suspensions absorbent plus volontiers les aspérités et délivrent un confort de roulage excellent. Ce confort est amplifié par la qualité d’isolation de la capote (phonique et thermique).

Malgré l’absence de toit, l’efficacité dynamique de la berline a été préservée. Cette Golf cab’ est soutenue par un châssis équilibré et une monte pneumatique conséquente. Malgré la disparition de l’arceau centrale, la rigidité a été renforcée au niveau des traverses et des soubassements. Vous n’êtes pas prêt de voir la baie de pare-brise se tortiller au premier appui. Pour terminer, VW a doté son cabriolet d’un système de protection en cas de retournement. Ce dernier situé dans les appuie-têtes se déploie automatiquement en quelques millisecondes.