Marché |
2011 |
2012 |
2013 |
Allemagne |
18,9% |
19,6% |
10,5% |
Belgique |
16,2% |
14,4% |
8,8% |
Espagne |
8,0% |
3,6% |
4,3% |
France |
14,6% |
9,7% |
5,5% |
Italie |
6,7% |
5,1% |
0,6% |
Royaume-Uni |
NA |
NA |
3,0% |
NB: ces données cumulent Logan et Logan 2
Au-delà des différences, historiques, d’un marché à l’autre, la tendance est commune. Partout la part de la Logan dans le mix modèle diminue, parfois drastiquement. Au mieux, comme en Allemagne, la Logan ne représente plus qu’un dixième des ventes. En France, entre 2011 et 2013, la part de la Logan a pratiquement été divisée par trois. Ce phénomène affecte également le marché domestique de Dacia. En Roumanie, la part de la Logan est ainsi passée de 68,4 % en 2011 à 61,1 % en 2012 puis à 46 % l’an dernier. Partout, cette érosion profite aux autres modèles de la gamme Dacia que sont les Duster et Sandero. Sur un marché français qui affectionne davantage les compactes cinq portes que les berlines compactes quatre portes, le phénomène est somme toute logique. La Sandero correspond globalement davantage aux attentes des clients européens. La Logan demeure toutefois le seul modèle disponible en break ; et quel break ! Son volume est sans équivalent à son niveau de prix. Rappelons aussi le succès de la Sandero dans sa déclinaison Stepway, au look de « baroudeuse ».
Ce constat enregistré, on peut donc s’interroger sur la présence à long terme de la Logan dans l’offre européenne de Dacia.
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