Dotée d’une bonne tenue de route, d’une belle offre d’équipement et d’une panoplie complète de moteurs essence et diesels, on peut se demander ce que pourrait faire de plus Renault pour augmenter l’attrait de sa compacte. Et pourtant, le lifting s’accompagnera également de modifications techniques concernant essentiellement l’offre de motorisation. En essence tout d’abord, l’arrivée d’un nouveau moteur 1.5 étudié en coopération avec Nissan (il équipe pour le moment la Nissan Tiida au Japon) devrait changer pas mal de chose et pourrait remplacer les 1.4 ou 1.6 que l’on trouve sous le capot de la Mégane actuelle. Même chose avec l’apparition d’un nouveau 2.0 atmosphérique Renault/Nissan qui pourrait prendre la place du 2.0 16V 136 ch.

En diesel, le 1.5 dCi 100 ch passera à 105 ch avec en prime l’apparition d’une boîte de vitesses à six rapports. Si le 1.9 dCi de 120 ch devrait toujours être présent, il voisinera avec un bloc plus puissant, un1.9 dCi de 140 ch. Bonne nouvelle pour les sportifs, la Mégane RS qui adoptera un peu plus tard les modifications esthétiques de la berline de base pourrait voir la puissance de son moteur 2.0 Turbo progresser légèrement à 230 ch (225 ch actuellement). Bien pourvue sur le plan de l’offre d’équipements de sécurité, la Mégane devrait être proposée dés le deuxième niveau de finition avec l’ESP de série et six airbags de série (frontaux, latéraux et de tête) dés le modèle de base. Toutes ces modifications et cette hausse d’équipement devraient provoque une légère augmentation du tarif. Le modèle de base devrait être proposé à 16 500 euros (108 200 F) soit une augmentation de 200 euros (1 300 F) par rapport à la version actuelle.

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