À la conduite, outre l'agréable sensation d'espace résultant essentiellement de la profondeur de la planche de bord, on note surtout la grande souplesse mécanique, toutes motorisations confondues. Parfaitement à son aise en ville, où la direction assistée fait cependant défaut sur les premières motorisations 1.2/55 ch, la Twingo peut également prendre la route sans complexe. Certes, ses performances sont limitées dans l'absolu, mais elle fait preuve d'une bonne endurance et les longs trajets autoroutiers ne lui font pas peur, à la seule condition d'accepter des relances parfois un peu justes.
Le comportement n'appelle pas de critique particulière et l'on se satisfait de l'excellent confort de suspension. L'insonorisation reste perfectible, mais rares sont celles qui font mieux dans sa catégorie. Le confort des sièges était pénalisé, sur la première génération, par une assise trop courte. Dès la deuxième génération, les sièges étaient dérivés de ceux de la Clio, si bien que le confort sur long parcours en profite grandement.
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