
Voilà ce qui s'appellerait être victime de l'ironie du sort. Depuis l'accident fatal à Daijiro Kato en 2003, la FIM n'a eu de cesse de réfléchir sur la limitation de la puissance des Moto GP, capables de développer plus ou moins 250 ch pour catapulter son pilote à près de 340 km/h.