Lors de son passage remarqué dans le paddock du Moto GP sur le circuit d'Istanbul qui lui appartient, Bernie Ecclestone s'est laissé aller à des considérations sur l'avenir de la discipline. Une discipline qui est en pleine réflexion sur sa gestion et un Bernie qui a fait ce qu'est la Formule 1 moderne, la rencontre ne pouvait que donner un avis éclairé.
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C'est bien ainsi que Toni Elias donne son point de vue sur sa manœuvre de dépassement sur un Rossi qui l'a par ailleurs largement commentée. Et l'Espagnol précise, pour qu'il n'y ait pas d'ambiguïtés : « Je n'ai rien à me reprocher ». Sur la polémique qui est née de cette initiative, il s'exprime ainsi : « C'est une question de point de vue.
Avec quatre victoires seulement contre treize à son concurrent direct lors de la saison écoulée du Moto GP, Bridgestone avait bien saisi le message que pour remporter un championnat, il fallait être constant tout au long de l'exercice. Un championnat que le manufacturier nippon s'était donné cinq ans pour l'enlever.
La prochaine on vous montrera son podium et cette figure ne sera plus que le mauvais souvenir des temps de disette. Alexis dit avoir perdu l'arrière, voilà la chose avérée par les images séquencées. Reste qu'il y a du boulot à abattre chez le team FFM qui se fait éclipser dans le clan Honda par la structure Repsol qui semble bien servir en matos l'espoir anglais Bradley Smith.
Le cauchemar dominical de Michelin au Grand Prix de Turquie se renouvellera-t-il en Chine, dans moins de deux semaines ? Bridgestone aurait-il un secret qui ferait durablement la différence ? Dans tous les cas, la conjoncture ottomane a eu un prolongement, hier, lors des essais d'après Grand Prix.
Voilà un DVD qui plaira aux amateurs et passionnés de Moto GP. Il contribuera à compléter votre collection d'images inoubliables des derniers Grands Prix ou remplacera vos vieilles VHS enregistrées sur le pouce.
Il faut bien le dire, le couple Rossi-Michelin connaît rarement des revers. On peut même dire que c'est un ménage heureux. Si bien que lorsqu'il y a une anicroche, les conséquences s'en ressentent immédiatement et la frustration est impitoyable.
Voilà le sentiment de l'inoxydable John Hopkins sur cette course turque délurée. Une vraie bataille d'enragés, où il n'a pas laissé sa part au chien, malgré un poignet qui lui fait souffrir le martyr. Un chemin de croix qu'il a décidé d'arpenter sans sourciller jusqu'à la fin d'une saison qu'il veut courir dans son intégralité, refusant l'opération qui le soulagerait.
On a eu peur pour lui et pour la bataille au Championnat. Pris dans le carambolage du départ, il s'était pourtant tout de suite relevé avant de s'asseoir sur le bord de la piste, demandant l'aide des commissaires. Au final, et après examen, si Dani a été réellement chiffonné, il n'a pas subit de dommages rédhibitoires.
Si, en Moto GP, la lutte a été acharnée, pour les pilotes de 250, ce qui s'y est passé relève de la pure anecdote. Bienvenu au pays du « fight », où les carénages ont tout intérêt à être bien arrimés et les genoux et les coudes, en paquet, rentrés. Bautista, Dovizioso et Lorenzo nous ont encore offert une sacrée démonstration.