
Marc Marquez est peut-être la première victime sportive du changement fondamental de la donne technique décidé pour de logiques questions de sécurité par Michelin. Auteur de la pole-position, ayant démontré une bonne adaptation de sa Honda aux conditions particulières du tracé argentin, il doit repartir de zéro alors qu'il semblait bien maîtriser son sujet.