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Patron passionné et dévoué à la cause Yamaha, Éric de Seynes poursuit son ascension au sein du blason au diapason en prenant la présidence de Yamaha Motor Europe. Le Français a dirigé Yamaha France de 2010 à 2014, en 2015, il accédait aux responsabilités d’Operational Director - COO - de Yamaha Motor et c’était une première pour un Groupe industriel japonais qui ouvrait cette distinction d’Executive Officer à un Européen. En prenant la tête de Yamaha Motor Europe, il ouvre encore une voie, car jamais encore un « non japonais » n’avait dirigé un continent.

Cela se précise. La rumeur d’une baisse de la limitation de la vitesse sur les routes secondaires de 90 à 80 km/h aura bien lieu. Le gouvernement, sur le sujet a adopté la politique d’un pas en avant puis deux pas en arrière mais a toujours continué à avancer vers cet objectif. Alors nous voilà donc en marche vers ses 10 km/h de moins. Pour se retrouver bientôt à pied ?

Dites-le à nos politiciens : faire du deux roues motorisé, ça préserve la santé et ça encourage la longévité. La preuve avec cette grand-mère, toujours bon pied bon œil, devenue à bien des égards source de symbole, d’exemple et même de publicité ! À 106 ans, voici Nonna Luisa, qui ne veut toujours pas lâcher sa Vespa. Engagée dans la sécurité routière, féministe de la première heure, elle devient aussi l’icône du scooter de Pontedera.

Cela fait maintenant un peu plus d’un an que l’accessoire existe et avec le mauvais temps lié à une baisse de la luminosité journalière, il se rappelle à notre bon souvenir de motard en mal de visibilité vis-à-vis des autres usagers de la route. Voici le Cosmo Connected qui n’est autre qu’un précieux feu arrière de freinage connecté pour nous, qui roulons en deux roues motorisés. Comme son anglicisme ne l’indique pas, il est le fruit du travail bien fait d’une start-up française qui a aussi associé son produit à une application connectée…

Ils sont là pour couper l’allure et se présentent donc comme des chicanes optimisant la sécurité routière. Autrefois l’exception, ils ont fait à ce point florès qu’ils sont à présent la règle. Pour nous, motards et scootéristes, ce sont des passages à négocier avec la plus grande prudence car régulièrement souillés par des liquides et autres carburants qui transforment l’endroit en patinoire à la moindre goutte de pluie. Voici les ronds-points et autres sens giratoires qui, en plus, coûtent une blinde au contribuable que nous sommes. Un élément à prendre en compte lorsque l’on commence à nous préparer à devoir payer pour l’entretien des routes…

On vous l’a fait remarquer, la carte grise, en ce moment, fait grise mine. Ce qui techniquement s’appelle plutôt un certificat d’immatriculation s’est dématérialisé au sens propre comme au figuré. Entendez par là qu'il ne s’obtient plus après un échange physique derrière un guichet au terme d’heures d’attente frustrantes. Mais on n’arrive carrément plus à la percevoir après une procédure informatique qui aurait dû être une avancée. Au lieu de ça, on a dû reculer en rouvrant les comptoirs pendant qu’usagers et professionnels se trouvent poussés dans l’illégalité.

De l’autre côté de la Manche, on est concentré sur l’opération Brexit qui pose autant de questions qu’elle suscite de craintes. Cependant, côté moto, on semble serein avec, notamment, un constructeur Triumph qui triomphe en annonçant son bilan de l’année écoulée. Et pour cause : tant les ventes que les bénéfices ont explosé.

L’état du réseau routier, son entretien et le financement nécessaire à celui-ci a été remis au goût du jour avec l’idée avancée par le gouvernement de faire payer aux usagers là où, autrefois, il faisait son travail de service public. Mais ce temps-là n’est plus et les voies de communication nationales et bitumées autrefois fierté mondiale ne sont plus que classées septième au rang international. La raison se trouve dans cette hiérarchie des inquiétudes répertoriées par l’association 40 millions d’automobilistes qui montre aussi que de rouler en deux roues à notre époque demande la plus grande vigilance…

C’était un combat engagé par les femmes dans ce pays très conservateur qu’est l’Arabie Saoudite. Il s’agissait pour la gent féminine de pouvoir enfin s’installer derrière un volant et conduire une voiture. Seule et sans en passer par l’autorisation d’un mâle. Une lutte remportée en septembre dernier et qui a ouvert de nouveaux horizons pour les Saoudiennes. Car elles pourront, aussi, enfourcher un deux-roues motorisés !

Les scooters électriques se développent de plus en plus et deviennent une vraie alternative aux déplacements urbains. Eccity est une petite marque française qui s’illustre dans la création et la fabrication de scooters électrique. Disposant d’un mode de vente en direct, ils proposent désormais un système de leasing.