Voici donc le vainqueur d'une compétition/exhibition de customs en Suéde l'an passé. Il s'agissait du Custom Bike Show 2006 de Norrtälje, l'actualité n'est pas des plus "fraîches" mais le niveau d'originalité de la réalisation valait bien un retour en arrière sur cette info.
Le concept « Ghost Rider » ayant suscité quelque intérêt par ICI, il fallait pour être complet sur ce sujet encéphalique être clair sur la généalogie du héros maudit. Et la famille a des antécédents la bougresse, si bien que le rejeton enflammé ne soit, semble-t-il, que la continuité d'une triste lignée.
Pour 200 euros, t'as plus rien ? Condamner, à ce prix, à la Sony, à la XBox ou à la Wii à singer tant et plus l'ivresse des circuits ? Que nenni, tout en ce monde n'est pas cuit, il reste encore une opportunité de respirer l'huile et toucher le cambouis. Mais oui.
Le tripode est en vogue. Piaggio le lance pour le grand public, Bombardier en prépare un particulièrement velu tandis que ça et là, de géniaux artisans passionnés développent leur opus. Du côté de Lazareth, expert en véhicules déjantés en tous genres, on ne pouvait rester de marbre face à cette tendance.
Du côté des motos utiles aux Administrations d'Etat, si BMW y pourvoie largement et Yamaha s'installe sur les Continents, l'Italie, elle, joue la fibre nationale. C'est ainsi que les cerbères de la forêt iront traquer le gibier et autres animaux nuisibles, bipèdes ou plus si affinités, avec le trail de Borgo Panigale.
Vous en rêvez, Erik Brinkman ne l'a pas encore fait, mais il y pense fermement. De quoi ? De la moto qui en elle-même rassemblera tous les genres. Et qui, sur commande de son pilote se changera instantanément pour épouser la configuration de terrain à arpenter.
Après, le robinet, la boite aux lettres ou encore le PC et pour continuer dans la série des objets insolites indispensables au bon équipement de sa maison, le blog moto a le plaisir de vous présenter un appareil plus orienté loisir vert.
Sensibles aux émotions fortes passez votre chemin. Les chasseurs de Kneeslider ont encore levé un beau gibier, du genre massif à inverser les rôles une fois qu'il vous a repéré. Soit à vous transformer en proie. Autrefois, cette machine était née Yamaha R1, d'une cuvée estimée aux alentours de 2004 ou 2005.
Chez les ricains d'A1 Cycles, on a pas seulement décidé de faire un engin répondant aux canons de l' « easy rider » culturellement incontournable. On a voulu aussi enflammer son caractère, au propre, comme au figuré. Et elle en jette la fiche technique de cet opus baptisé « All in ».
L'affaire vient d'un brainstorm entre le blason « e-cycle » spécialisé dans les motorisations hybrides et l'enseigne « Machineart » dont la vocation est de faire de la conception industrielle. Et les deux noms ont décidé de s'unir pour s'occuper d'un sujet grave, la moto verte.
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