
Jorge Lorenzo avait pourtant fait des efforts pour se forger une nouvelle réputation. Celle d'un pilote à présent mature, ayant parfaitement intégré les exigences d'un pilote évoluant parmi l'élite avec l'ambition d'accéder au titre suprême. Le fougueux et instinctif surdoué était à ranger au rayon des souvenirs, tout comme le numéro 48 devenu 99.