Le second opus de l'Événement moto de l'Année se tiendra ce week-end en parallèle de la Sunday Ride Classic. C'est donc comme à leur habitude que les amateurs de belles mécaniques (modernes et anciennes) investiront le Ricard les 8 et 9 avril prochain.
Alors qu'elle avait réussi à séduire bon nombre de participants dès sa première édition en 2009, Caradisiac Moto vous avait fait découvrir cette manifestation dès l'année suivante, où une forte délégation française avait fait le déplacement. Malheureusement, pour 2012, l'équipe organisatrice a été contrainte de jeter l'éponge.
Le mois d'avril voit de nouveau le département du Vaucluse au top des bourses motos. Dès dimanche, le 84 ouvre le bal, on passe en revue une liste pas nécessairement exhaustive. La vérification des dates s'impose comme d'habitude surtout avec le lundi de Pâques, 9 avril.
Un peu d'histoire. Le nom de Jawa nous vient de l'ingénieur Frantisek Janecek et de la marque Wanderer. En effet, Janecek, qui est à la tête d'une usine d'armement, décide, à la fin des années vingt, de diversifier son activité. C'est vers la moto qu'il décide de se tourner, en fabriquant, sous licence, la 500cc Wanderer allemande.
Bonjour Laurent. Tout d'abord, qui es-tu et comment es-tu venu à importer la marque Jawa en Belgique ? Bonjour. Donc je m'appelle Laurent Van Der Cam. J'ai débuté très tôt puisque mon père m'a mis pour la première fois sur une moto à l'âge d'un an et demi et depuis, le virus ne m'a plus quitté.
On ne peut pas dire que les deux roues motorisés aient connu un grand succès lors de la dernière vente aux enchères organisée par la maison Osenat le 18 mars dernier à Paris (voir l'article sur la présentation ici). En effet, sur neuf machines proposées, seules trois d'entre elles changeront de mains, et à des prix très corrects, même si nous traversons une période.
C'est à un passage de témoin historique auquel on assistera chez Harley-Davidson le 30 avril prochain. Après pas moins de 49 ans de bons et loyaux services, Willie G. Davidson tirera en effet sa révérence, à l'âge de 78 ans.
Mettre en place un championnat d'Europe avec des motos anciennes de course, on ne peut pas dire que le pari ne soit pas osé… D'abord parce que ces machines ne sont pas forcement les plus abordables, sans parler de la maintenance nécessaire pour assurer un minimum de compétitivité et de fiabilité, ensuite, parce que se déplacer sur des circuits européens demande obligatoirement beaucoup de temps et de l'argent.
Cette fois, ça y est. L'hiver est passé, les motos ont profité de cette trêve pour subir une cure de jouvence bien au chaud dans l'atelier. Pilotes et machines sont maintenant prêts à rejoindre les pistes, qu'elles soient en bitumes ou en terre, pour en découdre.
Au mois de mai prochain, du côté de Monaco, aura lieu une prestigieuse vente aux enchères qui vaudra incontestablement le déplacement. Et d'abord parce que deux Ducati Desmosedici seront offertes au meilleur enchérisseur.
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