
Alors que tout le monde se réjouit, momentanément, de la volte-face de Donald Trump et de la pause de 90 jours qu'il a consenti le 9 avril, la filière automobile continuera d'être taxée à 25 % à l'entrée des États-Unis.
Alors que tout le monde se réjouit, momentanément, de la volte-face de Donald Trump et de la pause de 90 jours qu'il a consenti le 9 avril, la filière automobile continuera d'être taxée à 25 % à l'entrée des États-Unis.
En théorie, la stratégie d’assemblage de la petite microcitadine électrique Leapmotor T03 en Pologne devait lui permettre de devenir éligible au bonus écologique français tout en évitant les taxes à l’importation en Europe. En pratique, Stellantis n’a pas atteint cet objectif et renonce carrément à finaliser sa fabrication là-bas !
C’est déjà le cas entre Renault et Geely ou Stellantis avec Leap Motor. Mais la question se pose de toute urgence pour nos gigafactories de batteries.
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Alors que Stellantis doit fabriquer moins de voitures électriques que prévu et plus d’hybrides, le groupe n’arrive pas à répondre à la demande sur ce dernier type de véhicules. Les fournisseurs ne peuvent pas s’adapter suffisamment vite.
La Commission européenne vient d’infliger une amende record à plus de quinze constructeurs pour une entente anticoncurrentielle à propos du recyclage des voitures.
Le nouveau SUV à prolongateur d’autonomie a droit aux taxes européennes à l’importation des voitures électriques chinoises. Mais il se soumet aussi au « malus masse » français réservé aux modèles hybrides rechargeables !
L'INFO DU JOUR - La menace devient réalité. À partir du 3 avril prochain, les voitures qui ne sont pas assemblées aux États-Unis subiront une taxe supplémentaire de 25 %. De quoi semer un vent de panique chez les constructeurs étrangers mais aussi dans l'industrie locale, et elle risque d'affecter la consommation américaine.
L’INFO DU JOUR. Moins de deux mois après sa nomination, le nouveau patron de Peugeot a réalisé un premier point presse durant lequel il a abordé toutes les questions du moment, même et surtout celles qui fâchent à commencer par l'affaire du moteur Puretech.
Contrairement à Volkswagen qui pourrait contribuer à « l’effort de guerre » dans le cadre de la hausse des budgets publics sur la défense des pays de l’Union européenne, Stellantis n’ambitionne pas de profiter de cette opportunité.
Caradisiac lance son podcast. Dans ce premier numéro, nous revenons sur l'invraisemblable affaire PureTech, du nom de ce moteur qui semblait particulièrement bien né avant de se révéler absolument catastrophique en termes de fiabilité, sans que le groupe Stellantis ne déploie rapidement des moyens satisfaisants pour résoudre la crise. Avec Manuel Cailliot, spécialiste occasion au sein de la rédaction Caradisiac, nous passons en revue les causes du problème, ses manifestations et, surtout, les meilleures façon de réagir si on y est confronté.
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