Cela s’est fait quasi en catimini et entre Japonais. Alors que l’avenir de Mitsubishi était sur la sellette depuis la révélation d’une manipulation des tests portant sur la consommation de certains de ses véhicules, le constructeur nippon était dans la tourmente. Jusqu’à apparaître comme une proie pour ses concurrents prêts à mettre la main sur un blason aux perspectives intéressantes. Mais c’est Nissan qui a raflé la mise.
Avec la General Motors ou encore Volkswagen, le nom de Takata est entrée dans l’Histoire de l’automobile comme celui par qui le scandale est arrivé. Et pas qu’un peu. Déjà 28 millions de voitures rappelées de par le monde, de marques différentes, à cause de son airbag défectueux qui blesse gravement ou tue au lieu de protéger. C’est beaucoup. Mais le pire est encore à venir.
Dans la course consacrant le premier constructeur automobile de la planète, Toyota se croyait débarrasser pour de bon d’un rival Volkswagen ambitieux. L’Allemand, on le rappelle, est dans la tourmente d’une affaire de boitiers électroniques truqués viciant les résultats antipollution de ses moteurs diesels. De quoi ternir une réputation et plomber les ventes. Vraiment ? Les résultats du premier trimestre auraient tendance à carrément démontrer le contraire…
C’est une affaire qui concerne des airbags et qui ne se dégonfle pas. Ceux-là sont fabriqués par une enseigne japonaise Takata tellement présent dans le processus industriel des constructeurs automobiles qu’elle oblige ces derniers à des campagnes de rappels massifs et coûteux. Des victimes qui réfléchissent pourtant à sauver économiquement leur bourreau qui croule sous les procédures judiciaires. Mais comment a-t-on pu en arriver là ? Les chercheurs d’un comité indépendant répondent.
La rumeur courait déjà depuis quelques jours, elle est à présent devenue une nouvelle officielle. Le premier constructeur mondial d’automobiles Toyota va être contraint de stopper sa production pour cause de pénurie d’acier. La faute à un sous-traitant qui se remet d’un accident industriel tandis que la conjoncture rapelle le fait que Toyota fabrique encore 35% des voitures de sa marque au Japon.
C’est un constat d’échec sur lequel Ford tire les conséquences. Parce-que ses parts de marché et son activité sont réduits à la portion congrue en Indonésie et au Japon, la marque à l’ovale bleu a décidé de quitter ces pays. Toute activité va donc y cesser. Il y a peu son compatriote General Motors avait fait de même pour la seule Indonésie.
Le célèbre groupe de hackers Anonymous vient d'agir contre un acteur du secteur automobile. Le site marketing et la plateforme dédiée aux pièces détachées Nissan au Japon ont été désactivés suite à une attaque importante. Les pirates veulent « sanctionner le Japon » pour ses actes de cruauté envers les baleines.
Depuis l'affaire Volkswagen, la cote du diesel n'est plus forcément aussi importante qu'auparavant. Elle pourrait même être totalement nulle aux Etats-Unis, au Japon et en Chine. C'est en tout cas ce que croit le numéro un de Continental, fabriquant de pneus et de matériel pour l'automobile.
Voilà une initiative qui ne peut laisser de glace. Lexus aime faire dans le décaler quitte à jeter comme un froid dans un milieu où les messages se doivent d’être d’une limpidité accessible au plus grand nombre. Ne cherchez pas un sous-entendu sécuritaire ni même un appel à la responsabilité écologique. Lexus fait ici juste dans le style et l’inutile. Et c’est parfois suffisant pour faire parler de soi.
Le pays asiatique vient d'élire sa voiture préférée pour 2015. La première place du concours revient au petit cabriolet propulsion Mazda MX-5. La Honda S660 et la BMW Série 2 complètent le podium.