Les États-Unis ne sont plus un eldorado pour les marques européennes. Elles vont devoir s'adapter aux tarifs syndicaux, et voient leurs ventes baisser dans un pays pourtant essentiel à leur chiffre d'affaires.
Les représentants de l'industrie et de la distribution se sont retrouvés à Bercy ce lundi matin pour signer un accord sur l'électrification de la filière. L'objectif, ambitieux, consiste à multiplier par 2,5 le nombre de voitures électriques en 2027, le tout avec des aides à l'achat constantes.
Carlos Tavares n’aime pas les voitures électriques mais il demande à l’Europe de continuer à les promouvoir. Il veut lutter contre les marques chinoises tout en s’associant à l’une d’elles. Et il critique le coût indécent de la Formule 1 tout en recevant ses 36 millions d’euros de salaire. Pas facile de le suivre !
À quelques heures de l'assemblée générale du groupe qui a approuvé les 36,5 millions d'euros au total que doit percevoir son directeur général, celui-ci s'est exprimé devant quelques médias, dont Caradisiac. L'occasion, également, pour le patron de Stellantis, de revenir sur le changement de nom du SUV Alfa Milano, et de livrer son opinion sur les choix européens.
Le très beau salaire de Carlos Tavares a du mal à passer. Plusieurs agences de conseil estiment que son montant est trop élevé par rapport au contexte économique actuel du groupe Stellantis.
S'exprimant à l'occasion du "Freedom of Mobility Forum" que son groupe organise, le Directeur général de Stellantis a notamment rappelé que la mobilité électrique ne pouvait pas être universelle. Bonne nouvelle, il estime aussi que le poids des batteries devrait être réduit de 50% dans les dix ans.
Conforté par les excellents résultats du groupe Stellantis en 2023, son directeur général a plus que doublé sa rémunération pour l'année dernière. Il devrait toucher au total 36,5 millions d'euros.
Pour la première fois, des automobilistes se mobilisent pour défendre le garage ou ils ont l'habitude d'acheter leurs voitures et de les entretenir, en l'occurrence, la succursale DS, Citroën et Peugeot du 15e arrondissement de Paris. Une enseigne du groupe Stellantis que ce dernier entend fermer, faisant fi de ses clients, de son histoire et de son prestigieux fondateur : Émile Darl'mat.
Le boss de Stellantis suscite toujours autant de rumeurs. Après celle de la fusion de son groupe avec Renault, surgit celle de sa succession. Et qui serait le mieux placé pour le remplacer si ce n'est le patron du losange ?
Après un succès que Bercy n'avait pas vu venir, le leasing social s'est arrêté. Dans la foulée, le ministère a annoncé un bonus 2024 racorni. Du côté de Stellantis, en revanche, pas de diète, avec 18,6 milliards de bénéfices pour l'exercice de l'an passé.