Dans la marche forcée vers la voiture électrique, pouvoirs publics et constructeurs rivalisent de technicité, de normes et de standards. Mais qui se soucie du client confronté à ce capharnaüm technique ? Qui s’inquiète du mauvais buzz généré par les déconvenues qui en découlent ?
Le Comité stratégique de filière (CSF) « Automobile » se réunissait ce matin afin de détailler les mesures d’aide à un marché en grandes difficultés. Les bonus et primes à la conversion 2020 se voient prolongés jusqu'au 30 juin 2021, et le déploiement de bornes électriques ne devrait pas faiblir.
Examiné depuis une dizaine de jours par les députés, le projet de loi de finances 2021 prévoit pour les flottes de nouveaux changements en matière de fiscalité, notamment une refonte de la Taxe sur les véhicules de société (TVS) ainsi qu’un durcissement du malus automobile, au même titre que pour les particuliers.
Les pouvoirs publics ont détaillé ce matin le plan de déploiement de 100 000 bornes électriques d'ici la fin de l'année prochaine, à quoi s'ajoute notamment un bonus de 1 000 € pour les voitures électriques d'occasion. Au passage, on a appris que le réseau Corri-Door était (presque) en voie de résurrection.
Le gouvernement annonce la création d'un bonus écologique de 1 000 € sur les véhicules électriques d'occasion.
Début 2021, les gammes des constructeurs ne devront pas excéder, en moyenne, 95 g/km sous peine de devoir supporter de lourdes amendes. Comme la date fatidique approche à grands pas, Caradisiac fait le point sur les bons et les mauvais élèves.
Les aides sur les hybrides rechargeables et les électriques seront revues à la baisse l'année prochaine. Mais l'État se fera plus généreux que prévu.
Pour aider les ménages modestes à se convertir à l'électrique, le gouvernement étudie un bonus écologique sur les modèles d'occasion.
Il y a eu des changements pendant l'été pour les conducteurs. Si vous n'avez pas toujours suivi l'actualité pendant les vacances, Caradisiac fait le point sur les évolutions des dernières semaines : prime à la casse, bonus/malus, limitations de vitesse…
La part des immatriculations de flottes chez les voitures électriques ne cesse de croître en Europe, pour désormais s'approcher des 60 %. La croissance de la mobilité verte est aussi bien aidée par les aides gouvernementales.