Si la communication française sur la sécurité routière est toujours marquée d'un ton grave et solennel, en Belgique, c'est d'humour noir dont a fait preuve la région bruxelloise avec ce spot publicitaire décalé.
Féru d’inventions et de technique, le célèbre antihéros gaffeur a exercé ses « talents » sur des voitures, qui en sont rarement sorties indemnes….
Dans certaines villes de Wallonie, il est possible pour les chômeurs de passer le permis de conduire gratuitement.
Les responsables du mythique tracé belge de Spa-Francorchamps reviendront en arrière pour un élément de sécurité très discuté par les organisateurs des disciplines auto et moto : les bacs à gravier.
La région de Bruxelles va mettre en place les premiers tests du péage urbain pour accéder à la capitale belge dans les mois à venir. Selon un député, cela pourrait coûter jusqu'à 2500 € par an aux navetteurs qui doivent se rendre régulièrement dans Bruxelles.
Pour certains frontaliers, même en période de restriction de déplacements, la tentation est grande d'aller faire le plein de carburant de l'autre côté de la frontière et profiter de tarifs avantageux. Ce Français s'est fait contrôler par la police belge, avec, à la clé, une amende de 4116 €.
Dans Bruxelles et dans d'autres grandes villes belges, les véhicules diesels Euro 3 ou antérieurs sont, depuis le 1er janvier, interdits de circulation. Ce ne devrait être que le commencement, avec des restrictions plus importantes dans les années à venir.
Lorsque l’on se fait prendre par un radar, et que l’on décide de contester le résultat relever à son encontre, c’est le début d’une procédure kafkaïenne dans laquelle est donné au récalcitrant un rôle digne de la pièce Ubu roi. Car même face à l’absurde, il faut se défendre. Après avoir payé au préalable. Exemple avec ce Luxembourgeois qui a reçu un avis de contravention pour excès de vitesse en Belgique. Et quelle vitesse !
La sécurité routière publie un rapport (succinct) d'activité des radars automatiques pour 2017. Ceux-ci ont flashé à 26 millions de reprises et rapporté plus d'un milliard d'euros l'an dernier, en hausse de 10%.
C’est une nouvelle qui nous vient de nos voisins belges que l’on raille souvent. Mais ce serait ici mal à propos. Le site gocar.be relate en effet que le ministre fédéral de la mobilité François Bellot a enterré l’idée du permis à points en Belgique. Pourquoi ? Parce que selon une étude indépendante, la mise en œuvre d’un tel dispositif est estimée à 8 millions d’euros par an. Une décision et des considérants qui nous éclairent sur les prises de décision de ce côté-ci de la frontière en matière de répression routière…