Chez Mercedes, nationalité germanique oblige, on aime que ce soit carré et la nomenclature de ses modèles laissait un peu à désirer ces dernières années, rendant plutôt complexe une gamme où a fleuri une multitude de véhicules de niche. Et après la disparition des GLK et CLK, le nom SLK était l'épi retors sur une coupe au bol devenue parfaitement lisse.
Mercedes profite donc du restylage de milieu de carrière du petit roadster coupé cabriolet pour le rebaptiser SLC, ce qui est probablement la modification extérieure la plus marquante. On note tout de même quelques efforts pour remettre la ligne au goût du jour des derniers modèles de la gamme, ce qui se remarque au niveau de la calandre et des feux avant comme arrière plus étirés.
Sous le capot, on note avant tout la triste disparition du V8, la SLK 55 AMG laissant la place à la SLC 43 AMG dotée d'un V6 3,0 biturbo de 367 ch et l'arrivée pour s'en remettre (ou pas) d'une nouvelle motorisation d'entrée de gamme avec la SLC 180 équipée d'un 1,6 l turbo de 156 ch et qui vient donc se placer sous la SLC 200 de 184 ch et la SLC 300 de 245 ch. Et la SLC 300d reste toujours un choix étonnant pour un roadster, avec un quatre cylindres 2,2 l diesel de 204 ch.
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