Dans le paddock du Moto GP, il est une écurie qui a soudainement gagné en notoriété. Anonyme dès son arrivée parmi l'élite avec une insondable Suter BMW, elle a gagné un peu en intérêt cette année avec une FTR Kawasaki.
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Bradley Smith peut être satisfait de sa rentrée à Indianapolis. D'entrée qualifié parmi les dix premiers, il a bouclé le premier tour à la quatrième place, avant cependant, de rentrer dans le rang. mais heureusement, les deux Ducati officielles lui ont rendu un fier service. . .
Cal Crutchlow n'a pas à rougir de sa prestation à Indianapolis lors du Grand Prix. Il finit cinquième. Mais il aurait pu être quatrième alors qu'il a vécu sous la menace constante d'Alvaro Bautista. Tout ça, loin de l'intouchable trio de tête.
Partir neuvième et finir quatrième, ce n'est pas en soi une mauvaise opération. mais lorsque l'on s'appelle Valentino Rossi, que l'on est officiel Yamaha et que l'on constate être très loin d'un trio de tête où se trouve un équipier que l'on ne peu pas appuyer face au duo du HRC, le tableau se fait moins beau.
En pyromane averti Marc Marquez a mis le feu dans la maison Yamaha ce week-end à Indianapolis. Pour mettre sous l'éteignoir l'incandescent Jorge Lorenzo il faut se lever tôt mais le jeune officiel du HRC a carbonisé la concurrence à Indianapolis.
C'est une rentrée difficile que s'offre Valentino Rossi à Indianapolis. Loin des ténors et sur un rythme qu'il juge lui-même des plus modestes, il est passé au travers de ses qualifications à Indianapolis pour s'offrir une neuvième place sur la grille de départ. Soit la pire depuis le début de l'année.
Jorge Lorenzo n'avait plus goûté aux joies de la première ligne depuis le rendez-vous de Montmelo. Sur un tracé favorables aux Honda et au vu de son état, le double champion du monde ne pouvait pas espérer mieux que cette seconde place sur la grille de départ du Grand Prix des Etats-Unis.
C'est une rentrée studieuse à défaut d'être performante que s'est offert Valentino Rossi sur le tracé d'Indianapolis. Sixième avec un Alvaro Bautista qui lui colle au train, il n'est pas encore en mesure de menacer les hommes de tête dont font partie Bradl et Crutchlow.
La rentrée de Jorge Lorenzo à Indianapolis ne s'est pas si mal déroulée que ça. Certes, il n'a rien pu faire pour contre carrer les trois Honda de tête, mais le double champion du monde a constaté que sa forme n'était pas si mauvaise et ce, sur un tracé qu'il n'affectionne guère.
Avec un Jorge Lorenzo encore marqué par ses blessures et opérations à la clavicule et un Dani Pedrosa qui n'est guère plus en forme, il n'y aura peut être qu'un Valentino Rossi en pleine possession de ses moyens pour contrecarrer la charge de l'impressionnant Marc Marquez vers le titre.
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