Les quatre temps ont repris de la vigueur et les plateaux des Stocks cette saison sont de belle facture. Ils seront trente et un chez les 1 000 et vingt parmi les 600 à se déchirer sur la saison pour qui une coupe ou un titre. Une situation à comparer avec l'évolution de la grille du GP125 qui ,a contrario, a connu une certaine déflation.
Le jeu des chaises musicales initié par le divorce ombrageux entre Matthieu Lagrive et le team Daffix en Endurance vient de trouver une partie de son épilogue du côté du Supersport.
Je vous avais présenté cette vente il y a quelques semaines. On ne peut pas dire que les prix se soient envolés lors des enchères, ce qui est une bonne chose pour les acheteurs. Les enchères sont restées dans le domaine du raisonnable voir même en dessous du prix du marché de l'occasion.
L'affaire Matthieu Lagrive- team Daffix aurait-elle déclenché le jeu des chaises musicales dans le landernau de la vitesse française ? On peut le croire avec cette fracassante annonce de l'arrêt de l'aventure en mondial Supersport entre Triumph et un Sébastien Charpentier dont le retour à une compétition qui l'a deux fois titré aura fait long feu.
La mode des optiques à Leds, si mes références sont bonnes, est venue du constructeur automobile Audi il y a quelques mois. Depuis, la gamme du constructeur s'est étoffée dans ce sens et de la récente A1 à la magnifique A5, le regard s'est habillé de Leds.
Chez Triumph, l'année 2010 n'est pas synonyme de nouveauté. Il y a bien la Rocket III Roadster mais pour le reste, c'est un peu le néant… Du coup, le constructeur Anglais y va à grand coup d'édition spéciale et de nouveaux coloris.
Depuis quelques jours maintenant Triumph nous a dévoilé sa nouvelle Edition Spéciale de la Daytona 675. Au programme, un coloris similaire à la version 2009 mais de tout nouveaux stickers, des pièces racing issue du mondial Supersport mais aussi des pièces en carbone montées de série… La voilà enfin la Triumph Daytona 675 SE millésime 2010.
Les beaux jours et les douces températures sont enfin de retour. Par la même occasion, les constructeurs usent de nombreux et avantageux subterfuges pour vendre leurs modèles.
Dur dur le retour à la compétition de notre Sébastien Charpentier qui a quitté le tracé de Phillip Island d'une humeur morose. Se battant lors des essais pour rester dans le top 10 avec un plan de travail qui le maintenait à flot, la course a été un peu plus problématique tandis que les autres soldats de l'escouade Triumph connaissaient des fortunes diverses.
Se remettre dans le bain bouillonnant d'un mondial Supersport chaud comme la braise ne relève pas de la cure roborative. Mais plutôt du parcours du combattant. Si bien que s'y replonger après deux ans d'absence nécessite un certain temps d'adaptation.
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