
Les connexions entre l'automobile et la moto sont à ce point exacerbées chez les blasons impliqués dans les deux univers que lorsque l'un des deux domaines prend l'eau, l'autre doit écoper. Et comme ce sont les quatre roues qui constituent souvent le levier économique le plus fort, celui qui en a deux de moins se voit contraint de subir, à l'image de ce qui se passe actuellement chez Suzuki.