Ducati a donc franchi le pas et présente une gamme sportive armée d’un quatre cylindres plutôt que de faire feu avec le seul bicylindre. Un V4 tout doit venu du MotoGP, une machine particulière qui méritait bien une déclinaison Speciale. On aura le standard et la S dans la famille Panigale V4, mais on aura aussi cette série limitée qui vaudra le détour, ne serait-ce parce qu’elle promet 24 ch de plus…
Chez Ducati, on se présente à Milan avec le nouveau V4 comme étendard, mais on n’oublie pas son bicylindre qui garde toujours le sceau statutaire de Panigale. Et même, dans le cas de cette 959, de Panigale Corse, un label qui ouvre des horizons susceptibles de modifier au guidon la conception de l’espace-temps…
La Panigale V4 ouvre à Milan un nouveau chapitre dans une histoire Ducati jusque-là déclinée en bicylindre. De nouvelles performances mais aussi et surtout une nouvelle symphonie qui s’en ira caresser les oreilles des inconditionnels de la marque, passionnés et… mélomanes en la matière ! Un sacré challenge pour un constructeur qui va mettre sur la route tout un savoir-faire acquis en MotoGP avec la Desmosedici. Une référence qui sent la poudre.
Les années passent et se ressemblent presque. Une année de plus au compteur du modèle Scrambler et après de multiples déclinaisons sa base 800 (et une petite 400 cm3), Ducati place la barre au dessus et lancer son Roadster tendance en 1100 cm3. Un vrai appel du pied pour les motards qui trouvaient la cylindrée un peu juste.
Une belle optimisation pour la gamme Multistrada pour l’année prochaine, seule la version Enduro ne bénéficie pas du nouveau moteur 1260 cm3 que la marque nous présente ce soir. Proposé donc en version standard, S (et SD-air) et une version Pikes Peak, la Multi montre maintenant des signes de maturité. Présentation sur la scène Italienne.
Le World Ducati Week, c’est la grande messe de tous les ducatistes qui a lieu tous les deux ans. La dernière édition avait été l’occasion de célébrer le 90e anniversaire du constructeur et cette fois, ce sera l’opportunité de souffler les dix bougies de cette manifestation au succès certain. Les dates ont été fixées si bien que vous pouvez cocher sur votre agenda les dates du 20 au 22 juillet. Quant au lieu, ce sera de nouveau le Misano World Circuit Marco Simoncelli qui sera de la partie.
Chez Ducati, on se félicite de son pari Scrambler lancé et gagné à ce point que le modèle est pratiquement devenu une nouvelle marque au sein de la famille de Borgo Panigale. Mais du côté de Bologne, on ne se repose pas sur ses lauriers. Car la concurrence est aussi très active dans ce créneau vintage qui habille de nostalgie des motos très contemporaines. Il fallait donc augmenter la puissance de feu. Et c’est ce que Ducati à fait en plaçant aux côtés de la 800 en service une prochaine 1100 qui promet de faire chavirer bien des cœurs.
Il y a une semaine, Andrea Dovizioso faisait à Phillip Island le faux pas qu’il fallait éviter pour éviter de se retrouver en Malaise avec un Marc Márquez en mesure de coiffer son quatrième titre en MotoGP. L’officiel Ducati a 33 points de retard à présent, alors que deux Grands Prix restent à disputer. Pour cet avant dernier rendez-vous à Sepang, l’Italien va tout donner sur un tracé qu’il avait dominé l’an passé, La preuve, il a dominé la première journée. Tant sur le sec que sous la pluie.
Ayant terminé son vendredi à Phillip Island avec le sentiment de pouvoir jouer un bon coup, Andrea Dovizioso se retrouve seulement onzième sur ma grille de départ du Grand Prix d’Australie en faisant le point sur son samedi. Une affaire d’autant plus mauvaise que, pendant ce temps, Marc Marquez, son rival d’un championnat qui les sépare de 11 points a réussi la pole position. Mais impossible n’est pas Dovizioso…
Loris Baz a fait du mieux qu’il pouvait ce samedi en Australie marquée par la redoutable séance qualificative. Sur un tracé de Phillip Island sous la menace constante d’une pluie qui a épargné le déroulé des opérations, le Français s’est qualifié juste derrière l’officiel Ducati Jorge Lorenzo. Et devant Danilo Petrucci sur l’autre GP17. Ceci alors que notre tricolore a une GP15. Certes, mais…
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