Lotus se réjouit de la reprise par Geely, le propriétaire de Volvo

De nombreuses reprises ont été des désastres par le passé, et il n'y a pas besoin de remonter très loin pour s'en rendre compte. Citons par exemple la débandade Saab avec le rachat puis la cession par le géant américain General Motors, qui a détruit le constructeur suédois avec des choix pas toujours très judicieux et une aventure de GM sur le Vieux Continent qui n'a jamais été une réussite (Opel en est un autre exemple).

L'histoire pourrait être bien différente pour Lotus, qui sera bientôt dans la poche du géant chinois Geely, déjà propriétaire de Volvo, depuis 2010. L'ascencion fulgurante de Volvo, qui a su conserver son identité malgré des fonds chinois, est une belle représentation de la gestion de Geely avec ses marques (Proton et Lynk&Co sont également dans le groupe).

Une chose est sûre en tout cas, le patron de Lotus est déjà satisfait du repreneur. Jean Marc Gales a expliqué que c'était "fantastique" et que cette reprise était "une bonne chose" pour Lotus. Il se murmure déjà que Lotus pourrait jouer un rôle prépondérant dans le développement des motorisations électriques pour tout le groupe Geely dans le futur.