Les voitures de la rédaction - Julien Bertaux et sa Fiesta ST
L'homme des essais d'une semaine complète s'est offert l'an passé son jouet extraordinaire : une Ford Fiesta ST de 182 ch née en 2013. Un achat presque raisonnable pour une utilisation qui ne l'est pas toujours, du moins sur circuit.
Il l’appelle affectueusement sa « boîte à conneries ». Un jouet magique qui n’est autre qu’une Ford Fiesta ST. « une 182 ch 4 cylindres, avec le 1.6 l turbo » précise celui qui décrypte chaque jour l’actualité auto sur Caradisiac et n’hésite pas à passer une semaine au volant d’une voiture pour des essais longue durée.
Sa citadine sportive, il l’a dénichée il y a un peu moins d’un an. « C’est un modèle de 2013 importé d’Allemagne » qui a tout naturellement trouvé sa place dans son garage aux côtés d’une BMW 130 i.. La petite auto à l'ovale totalisait 116 000 km au moment de son achat. « Mais je l’ai achetée en France, pour 13 000 euros, à un pro, avec trois mois de garantie. »
Une auto de 11 ans, mais bien équipée
Mais si la voiture accuse ses 11 ans, son équipement est loin d’être hors jeu. La Fiesta ST disposait déjà du Bluetooth, d'excellents sièges sport et d'une clim auto. En prime sa boîte manuelle à 6 vitesse n'a rien d'obsolète.
Depuis 10 mois, il s’amuse à son bord, et s’en sert presque aussi souvent que de son Allemande, se retrouvant ainsi avec deux daily qui donnent le sourire. En revanche, la BMW est réservée aux routes, alors que la Fiesta connaît par cœur la route qui la mène vers le circuit des Écuyers dans l’Aisne et celui de Lurçy Lévis dans l’Allier.
Un budget freins et pneus pour les sorties circuit
Mais si la sportive connaît le chemin qui la mène vers les track days organisés sur ces pistes, ce n’est pas sur ces accès qu’elle s’abîme, mais sur les circuits eux-mêmes. Aucun souci moteur d’ailleurs, « mais les freins et les pneus souffrent pas mal».
Julien se souvient de plaquettes Ferodo qui n’ont jamais dépassé 500 km. Depuis il est passé à des modèles Brembo, plus résistants. Côté pneus son choix se porte vers des Michelin Pilot Sport 5 « en 17 pouces, les tarifs restent raisonnables ».
Raisonnable et sportif ne seraient donc pas des termes antagonistes ? Pas pour Julien qui a su allier les deux. Comme quoi une « boîte à conneries » peut aussi s’avérer être une tirelire à économies.
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