Impreza, voici une appellation qui a fait rêver bon nombre d’amoureux de sport automobile. Après la gloire, la compacte japonaise est rentrée dans le rang, voire même l’anonymat. Aujourd’hui, Subaru met fin à toutes les velléités de sport en privilégiant la sécurité. Le pari sera-t-il gagnant avec cette cinquième génération ? Premiers éléments de réponse avec l’essai de la version 1.6 114 ch.
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Symbole jadis de sportivité et de performances, la philosophie de l’Impreza n’a plus rien à voir avec ce qu’elle était. Après l’adoption d’un diesel, voici maintenant qu’elle se convertit au SUV. Réalité ou simple effet de style.
Dans sa version "breakisée", la Subaru Impreza WRX aimerait nous faire croire qu’elle s’est assagie. Qu’elle est rentrée dans le rang souvent fade des familiales. Mais sa prise d’air sur le capot et ses jantes de 17 pouces trahissent sa vraie nature. Nous n’avons pas affaire à une prédatrice assagie : c’est un loup des rallyes.
Après la Legacy et le Forester en 2008, c’est au tour de la berline compacte de Subaru de passer au Diesel. Un quatre cylindres à plat remarquable de caractère et d’agrément et nettement plus sobre que les moteurs à essence de la marque. De quoi faire décoller les ventes de l’Impreza en France?
Subaru n’a jamais fait dans la demi-mesure, ni dans le consensus mou. Leurs autos ont adopté des shémas non conventionnels comme la transmission intégrale dès 1972, l’architecture moteur Boxer (cylindres à 180°) qui existe depuis 1965 et quand ils s’inscrivent en rallye, ils gagnent. Subaru a une histoire et toute la question est de savoir si la nouvelle Impreza WRX STi en est une digne héritière
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