A l'aube d'une saison 2010 où il sera engagé sur tous les fronts en Grand Prix, de la 125 au Moto GP, il est encore trop tôt pour dire si Jorge Martinez est à un tournant de sa carrière. Mais en revanche, on est déjà assuré que le tracé de Jerez aura un virage à son nom.
Lorsque je me suis lancé dans ce dossier, je me suis dit : Que nenni ! ! ! En fait, pour vous donner une idée, ça a été aussi facile que de trouver un crochet d'attelage chez « speedauto » ou chez « feu tricolore » pour une voiture homonyme (vous me direz : « faut être naze pour tracter une remorque avec une Ferrari » et vous aurez raison !
Tout juste trois ans après son lancement sur le marché, la Vespa S évolue en troquant son ancienne motorisation à carburateur pour se doter de l'injection électronique. Dorénavant, son appellation change et passe de S à S 125 cm3 ie. Toutefois, les amateurs et les nostalgiques seront ravis de constater que cette Vespa conserve son style chic et sport.
Alexis Masbou a donc réussi à trouver une écurie de haut vol pour effectuer une saison GP125 qui s'annonce comme celle de la dernière chance. Le Français le sait mieux que quiconque, lui qui sort d'une période Loncin noire qu'il n'a d'ailleurs pas terminé.
En 1969, Yamaha sort la 125 AT1, directement inspirée de sa grande sœur la 250 DT1. Moto revue essaye cette petite machine et nous donne ses impressions dans son n° 1969 du 28 février 1970. Ce qui ressort de cet essai, c'est l'excellente finition de la machine pour l'époque, et son aptitude au tout terrain.
Non non, vous ne rêvez pas ! ! Inutile de regarder la date de rédaction de cet article, nous ne sommes pas le 1er avril ! ! ! Nous sommes le 8 aout 1951 quelque part sur une « autochstradeuu rhallemandeu » entre Munich et Ingolstadt. Un petit groupe s'affaire autour d'un cigare à roulettes.
Même si les températures glaciales du moment rafraîchit les organismes, elles n'empêchent pas forcément de rouler que ce soit au guidon d'un scooter ou d'une moto. En attendant patiemment le printemps et certaines nouveautés dont le nouveau millésime du Skycruiser, certaines affaires sont à saisir.
Il y a quelques semaines, je vous présentais la 125 LT3 du constructeur de Pantin (mais non ! ! Pas les marionnettes ! ! ), j'ai nommé Motobécane. Voici, pour ceux qui occupent leurs soirées d'hiver à restaurer ce petit bicylindre deux temps afin de préserver notre patrimoine motocycliste, ce que proposent les trois principaux fournisseurs de pièces refabriquées pour motos anciennes.
Encore trop marginalisé sur notre territoire, PGO s'affirme pourtant comme la troisième force asiatique avec Sym et Kymco. Le constructeur taiwanais jouit d'un SAV costaud avec environ 300 distributeurs. Ancré à la 22è place sur le marché, PGO a réagit avec l'élargissement de son champ d'action grâce à la signature d'un partenariat avec les centres Norauto.
Lorsqu'on entreprend la restauration d'une moto classique japonaise des années soixante-dix, les réservoirs et autres caches latéraux portent souvent les traces d'une vie bien remplie. Refaire entièrement un « bidon » peut s'avérer coûteux vu le nombre d'opérations à réaliser (« décabossage », masticage, ponçage, traitement intérieur, apprêt, peinture, autocollants etc.
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