Par SF90
Rubrique des chiens écrasés. A quand une rubrique technique sur l’automobile, sérieuse avec des schémas ?
Sur les motorisations hybrides afin d’y comprendre un peu mieux?
Une Maserati MC20 dans un triste état immortalisée sur une remorque
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Par SF90
Rubrique des chiens écrasés. A quand une rubrique technique sur l’automobile, sérieuse avec des schémas ?
Sur les motorisations hybrides afin d’y comprendre un peu mieux?
Par Dimhop
En réponse à SF90
Rubrique des chiens écrasés. A quand une rubrique technique sur l’automobile, sérieuse avec des schémas ?
Sur les motorisations hybrides afin d’y comprendre un peu mieux?
Si une telle rubrique apparaît, c'est pas Rasetta qui en sera l'auteur... C'est plus confortable de pomper les fonds de poubelle du net '
En réponse à SF90
Rubrique des chiens écrasés. A quand une rubrique technique sur l’automobile, sérieuse avec des schémas ?
Sur les motorisations hybrides afin d’y comprendre un peu mieux?
il y a Martine le vendredi pour la technique
Encore un petit ange qui était au volant ?
Par roc et gravillon
Ah mince !
Elle a juste rencontré un gendarme couché.
Par Copine
On l’attendait comme la résurrection de Maserati dans le cercle très fermé des supercars. Et la MC20 ne déçoit pas. Silhouette élancée, portes en élytre, moteur V6 biturbo de 630 chevaux conçu en interne, châssis carbone, boîte double embrayage, et un 0 à 100 km/h abattu en 2,9 secondes : la belle de Modène envoie du lourd. Le tout avec un raffinement typiquement transalpin, loin du tapage visuel d’une Aventador ou de la brutalité d’une GT-R.
L’intérieur, bien que sobre pour une italienne, témoigne d’une montée en gamme sérieuse : fibre de carbone, Alcantara, instrumentation numérique… la MC20 coche les cases. Plus qu’un bel objet, elle signe le retour d’un vrai savoir-faire maison, sans recourir aux recettes d’un autre temps.
Sur la route, c’est un équilibre rare : agile, incisive, mais jamais piégeuse. Une supercar utilisable, sans renoncer à l’exclusivité.
Le bémol ? Il est au-dessus du capot…
Seul nuage au-dessus de cette éclaircie italienne : son blason. Maserati a beau se donner les moyens de sa renaissance, elle reste, hélas, affiliée à Stellantis,un conglomérat plus connu pour ses coupes budgétaires que pour ses coups de génie.
Pour le dire autrement : MC20 ou pas, difficile de faire rêver quand on partage l’écurie avec des Peugeot 2008 d’entrée de gamme, et que l’image globale du groupe peine à se défaire de celle d’un géant un peu voyou, porté par les “méthodes GRANDE TAVARES” plutôt que par la passion automobile.
Par Brutus1
Ça va coûter cher de faire venir les éléments de chez Dallara. Mais bon tout est une question de dosage du pied droit. Il y en a qui pensent que cela se conduit comme avec une console de jeu...
Par 992Phil
« Primaire » est l’adjectif qui vous définit le mieux….
Tant au niveau du racisme que de l’analyse du marché….
Par 992Phil
En réponse à Copine
On l’attendait comme la résurrection de Maserati dans le cercle très fermé des supercars. Et la MC20 ne déçoit pas. Silhouette élancée, portes en élytre, moteur V6 biturbo de 630 chevaux conçu en interne, châssis carbone, boîte double embrayage, et un 0 à 100 km/h abattu en 2,9 secondes : la belle de Modène envoie du lourd. Le tout avec un raffinement typiquement transalpin, loin du tapage visuel d’une Aventador ou de la brutalité d’une GT-R.
L’intérieur, bien que sobre pour une italienne, témoigne d’une montée en gamme sérieuse : fibre de carbone, Alcantara, instrumentation numérique… la MC20 coche les cases. Plus qu’un bel objet, elle signe le retour d’un vrai savoir-faire maison, sans recourir aux recettes d’un autre temps.
Sur la route, c’est un équilibre rare : agile, incisive, mais jamais piégeuse. Une supercar utilisable, sans renoncer à l’exclusivité.
Le bémol ? Il est au-dessus du capot…
Seul nuage au-dessus de cette éclaircie italienne : son blason. Maserati a beau se donner les moyens de sa renaissance, elle reste, hélas, affiliée à Stellantis,un conglomérat plus connu pour ses coupes budgétaires que pour ses coups de génie.
Pour le dire autrement : MC20 ou pas, difficile de faire rêver quand on partage l’écurie avec des Peugeot 2008 d’entrée de gamme, et que l’image globale du groupe peine à se défaire de celle d’un géant un peu voyou, porté par les “méthodes GRANDE TAVARES” plutôt que par la passion automobile.
Avoir dans son catalogue produit du basique et du très haut de gamme n’est pas spécifique à Stellantis ; c’est la situation de tous les groupes automobiles qui proposent des voitures de 20 k€ à 500 k€.
La question que vous soulevez est celle de l’organisation de tels groupes, et en particulier la manière dont on gère une marque « haut de gamme » au sein de ce groupe.
Personnellement, je n’ai pas d’avis sur la manière dont cela se passe chez Stellantis.
Je sais par contre que différents modèles d’organisation peuvent fonctionner. L’exemple que je connais le mieux est celui de D’Ieteren Automotive qui est l’importateur / distributeur belge pour tous les produits du groupe VW.
VW a en effet decidé (et depuis très longtemps) de confier la distribution de ses produits une société dédiée fortement implantée au niveau local.
Cette entreprise fait le lien entre les produits VW et le marché belge, en apportant la connaissance de ce marché, en menant les campagnes marketing spécifiques à chaque marque et en organisant les réseaux de garages pour chaque marque.
Cela signifie que le groupe VW confère une délégation à cette entreprise pour optimiser les ventes et les services d’une dizaine de marques qui vont de Skoda à Porsche, et même Bugatti.
C’est un modèle qui fonctionne (très) bien depuis des dizaines d’années et qui n’a jamais été remis en cause par VW.
Les clients des marques « premium » et « haut de gamme » sont traités de manière spécifique. Un garage Audi est exclusivement Audi et ne vend pas de VW. Et idem bien entendu pour les autres marques haut de gamme.
Tout le contraire de ce que Stellantis fait avec ses garages Peugeot, Citroën et DS3 où le client se ballade gentiment entre des showrooms communicants !
Par Sage Centenaire
La Rasetati Écrasée20.
Par Oyama
En réponse à Copine
On l’attendait comme la résurrection de Maserati dans le cercle très fermé des supercars. Et la MC20 ne déçoit pas. Silhouette élancée, portes en élytre, moteur V6 biturbo de 630 chevaux conçu en interne, châssis carbone, boîte double embrayage, et un 0 à 100 km/h abattu en 2,9 secondes : la belle de Modène envoie du lourd. Le tout avec un raffinement typiquement transalpin, loin du tapage visuel d’une Aventador ou de la brutalité d’une GT-R.
L’intérieur, bien que sobre pour une italienne, témoigne d’une montée en gamme sérieuse : fibre de carbone, Alcantara, instrumentation numérique… la MC20 coche les cases. Plus qu’un bel objet, elle signe le retour d’un vrai savoir-faire maison, sans recourir aux recettes d’un autre temps.
Sur la route, c’est un équilibre rare : agile, incisive, mais jamais piégeuse. Une supercar utilisable, sans renoncer à l’exclusivité.
Le bémol ? Il est au-dessus du capot…
Seul nuage au-dessus de cette éclaircie italienne : son blason. Maserati a beau se donner les moyens de sa renaissance, elle reste, hélas, affiliée à Stellantis,un conglomérat plus connu pour ses coupes budgétaires que pour ses coups de génie.
Pour le dire autrement : MC20 ou pas, difficile de faire rêver quand on partage l’écurie avec des Peugeot 2008 d’entrée de gamme, et que l’image globale du groupe peine à se défaire de celle d’un géant un peu voyou, porté par les “méthodes GRANDE TAVARES” plutôt que par la passion automobile.
Que ce soit une filiale du groupe Stellantis ou de son ex-PDG, on s'en moque. Le mec qui achète une Lamborghini ne regarde pas la gamme Seat, ni le dieselgate.
La MC20 est une voiture extraordinaire, mais Maserati souffre d'un déficit d'image de marque pour proposer une voiture a un tel tarif.
Par Pretty Green
En réponse à Oyama
Que ce soit une filiale du groupe Stellantis ou de son ex-PDG, on s'en moque. Le mec qui achète une Lamborghini ne regarde pas la gamme Seat, ni le dieselgate.
La MC20 est une voiture extraordinaire, mais Maserati souffre d'un déficit d'image de marque pour proposer une voiture a un tel tarif.
D'ailleurs, à ce tarif-là, on aimerait plutôt un moteur atmo pas vrai ? Cela lui donnerait le supplément de noblesse qui lui manque comparée à la facilité de mettre 57 turbos en série.
Par Franck-L
En réponse à Pretty Green
D'ailleurs, à ce tarif-là, on aimerait plutôt un moteur atmo pas vrai ? Cela lui donnerait le supplément de noblesse qui lui manque comparée à la facilité de mettre 57 turbos en série.
Pas sur. Le client d'un Urus ne semble se lamenter d'avoir un turbo plutôt que le V10, pourtant fiabilisé et mythique chez Lamborghini. C'est de loin la plus grosse vente de la marque.
Le nombre de CV, les temps du 0-100 kmh ont + d'importance je pense.
Le problème pour Maserati est de reconstruire une image. Une supercar se vend essentiellement par son image. Celle de Maserati oscille entre Ferrari du pauvre et trop cher/ pas fiable/ sav nul.
Comme déjà écrit, je constate que mes 3 clients qui roulaient Maserati ont tous opté pour une autre marque
Par carrera13
Sportive de l'année 2022 par le magazine Evo.
Aucun doute cette voiture est sensationnelle !
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