Lorsque l'on s'appelle Valentino Rossi, on est l'objet de toutes les attentions. Et même un peu plus encore. On n'est même pas à l'abri des surprises de la notoriété lors d'une interview a priori réalisée par des professionnels aguerris. Mais parfois, on perd tout contrôle. Surtout lorsque l'on tombe dans les griffes de la sulfureuse Deborah Serendipity.Deborah Serendipity ne fait pas des reportages qui brillent par leur sérieux et l'objectivité des sujets traités. Son jeu, c'est de jouer sur l'intimité et la séduction. Une gamme qu'elle a déclinée sans sourciller une fois qu'elle s'est retrouvée devant Vale.Dès la rencontre, il n'y a pas eu de préliminaires : "je n'arrive pas y croire. Je suis face à mon pilote préféré. Oui, c'est la vérité. Je suis ici". Voilà pour l'introduction. Puis le vif du sujet : "est-ce que je deviendrai un jour la mère de tes enfants ?" a-t-elle demandé carrément à l'officiel Yamaha. Qui, diplomatiquement a demandé un délai de réflexion. Quel dur métier, décidément.