Par Anonyme
salut
dans le meme rapport , lire les pages 32 33 et 34, et on comprend pourquoi c'est si interressant de produire seulement un peu de VE (1% par rapport au VT) pour les constructeurs de voitures
a+
antoine
Autolib', un projet rentable ?
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Par Anonyme
salut
dans le meme rapport , lire les pages 32 33 et 34, et on comprend pourquoi c'est si interressant de produire seulement un peu de VE (1% par rapport au VT) pour les constructeurs de voitures
a+
antoine
Par Anonyme
Moi j'essaie de mettre en place la trottilib' depuis des mois, mais la mairie trouve l'idée peu séduisante. Pourtant, avec une trottinette en libre service ça peut faire gagner du temps aux piétons, et en plus ça pollue pas. Des trottinettes électriques bien sûr.
Par Anonyme
Les parisiens se réjouissent tout aussi peu de voir encore autant de voitures polluantes dans la ville.
Par §lex263eF
Merci à toi anonyme de 21h32, tu m'as poussé à télécharger le rapport, et c'est plein d'enseignements en effet :)
Le rapport est là :
http://www.strategie.gouv.fr/system/files/cas_voiture_de_demain_version14juin.pdf
Par Anonyme
salut
allez voir du coté de l'ineris:
http://www.ineris.fr/fr/t%20expertise/nouveaux-syst%C3%A8mes-de-stockage-de-l%C3%A9nergie-v%C3%A9hicules-%C3%A9lectriques-electromobilit%C3%A9/1009
a+
antoine
Par Anonyme
21h32
excellent.
Par Anonyme
Normal que la rentabilité ne soit pas un souci, le premier objectif est de diminuer le nombre de places de parking
Par roc et gravillon
A en juger par le désastre du vélib en terme de réalité économique : coût de 3000 € par vélo et par an à Paris (avec entre autre 16 000 vélos ravagés ou volés en 3 ans ), chiffre d'affaire égal à 8% des dépenses à Aix-en-Provence, etc.. etc...la conclusion provisoire que l'on peut tirer : le Français est bien trop peu discipliné pour qu'une offre de mobilité quasi-gratuite soit économiquement viable. A l'aune de ces réalités, imaginer un quelconque équilibre des comptes avec des véhicules automobiles relève de la pure utopie.
Mieux vaut envisager des systèmes de compensation plus ou moins élevée des dépenses auprès des particuliers se lançant dans l'achat de véhicules non polluants remplaçant une auto thermique en zone urbaine. Note bien la nuance lecteur : en remplaçant, pas en ajoutant un seconde auto en sus de la thermique. Ca devrait déjà suffire à réduire la source de dépense et éviter de nouvelles voitures ventouse dans les villes qui en sont déjà saturées.
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