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Toyota revendique 3,9 l/100 pour la Prius de 3e génération. Sur près de 1 500 kilomètres, nous avons relevé ses véritables consommations. Des résultats souvent flatteurs...

La troisième génération de la familiale européenne de Toyota entame une discrète carrière en France, comme les précédentes d’ailleurs. Nous avons essayé le break avec la motorisation Diesel la plus modeste afin de vérifier si ce relatif anonymat (en comparaison de la Prius III par exemple) est bien justifié.

Avec la Prius de 3e génération qui affiche une puissance en hausse de 24 %, et une consommation en baisse de 9 % (3,9 l/100), faire un geste pour la planète en rejetant 89 g/km de CO2 devient-il vraiment indolore côté budget (sur les postes achat/consommation/entretien) face à une berline équivalente diesel? Gagne t-elle suffisamment en agrément de conduite hors de la ville par rapport à la précédente? Notre premier essai de la Prius III tente de répondre à ces questions et à quelques autres...

Pour cette troisième génération, le monospace de Toyota s’affirme. Tout d’abord dans son appellation, mais aussi dans son style. Devenu modèle à part entière et moins consensuel, le Verso mise sur une qualité de fabrication irréprochable, un intérieur "lounge" et une modularité astucieuse. Un peu comme un certains Renault Scénic 3 ?

Le segment des polyvalentes s’étoffe de jours en jours. De nouvelles déclinaisons fleurissent sous des appellations différentes. Crossover d’un côté (Kia Soul), ludospace de l’autre (C3 Picasso). Toyota présente aujourd’hui sa vision du segment avec ce SUV compact baptisé à juste titre Urban Cruiser.

Dessinée et conçue en Europe, la Toyota Avensis poursuit son bonhomme de chemin dans un segment en déclin. Si cette troisième génération reste toujours aussi conservatrice, son bilan global la situe au niveau des meilleures familiales actuelles.

Le Toyota HiAce se particularise par un espace de chargement assez long et un seuil de chargement assez bas. Son faible rayon de braquage et son comportement routier correct en font un véhicule capable de rivaliser avec le Renault Trafic.

Le Toyota Dyna est un petit camion décliné en deux versions : le Dyna 100 plateau et le Dyna 150 châssis cabine, ce dernier se caractérisant par ses roues jumelées, son PTAC de 3,5 t (3 t sur le Dyna 100) et son empattement de 2545 mm (2300 mm sur le Dyna 100).

Le Toyota Hilux a été remis au goût du jour en 2007. Deux motorisations sont possibles, le TD 120 et le TD 171 ch. Le premier bloc est plus adapté à une utilisation mixte tourisme/utilitaire. Ce n’est pas un foudre de puissance, mais il est extrêmement souple, et même en 171 ch, sa capacité à reprendre dès les plus bas régimes et sans à coups est surprenante. En revanche, sur route, l’absence d’un sixième rapport se fait sentir. La direction, assistée électroniquement, est d’une grande précision pour ce type de véhicule.

Alors que Smart vient de fêter ses 10 ans, Toyota se lance aujourd’hui sur le marché des citadines de moins de 3 mètres avec son iQ. Une première concurrente de poids pour la Fortwo. Est-elle aussi révolutionnaire que le constructeur japonais le prétend ?