
Travailler d’arrache-pied dans son secteur d’activité pour y progresser et finir par y exceller jusqu’à en devenir le leader, voilà un schéma qui mène théoriquement à la consécration. Une félicité, un aboutissement. Mais il faut croire que la recette n’est pas universelle. Dans le cas de l’automobile, ce serait même tout le contraire. L’histoire récente a montré que celui qui devenait premier constructeur mondial connaissait ensuite les pires ennuis. La victoire était même le prélude à la chute. Malédiction où symptôme d’un système douteux ?