En 2010, Alexandre Bataille qui découvrait le tout récent Dacia Duster prédisait avec aplomb qu'il allait être un carton. Depuis lors, 820 000 exemplaires ont trouvé preneur à travers le monde (sous les marques Renault et Dacia), ce qui confirme les talents divinatoires de « notre » Élisabeth Tessier et la justesse de vue des responsables de la marque roumaine. À la vue du pitch de l'épisode 2 de ce blockbuster qui arrive actuellement sur les écrans, on se dit que le succès de la série n'est pas près de s'interrompre. Bien au contraire.
Exit le look d’utilitaire, les portes battantes et les 7 places. La Logan MCV soigne sa présentation et devient un véritable break. Si le modèle de Dacia monte en gamme, le prix lui, reste toujours aussi bas.
Chez Dacia, la nouveauté, c'est le restylage du Duster. Peu d'évolutions dehors, un peu plus à l'intérieur ou sous le capot. Le but fut de "mettre en harmonie l'intérieur avec l'extérieur qui plaisait déjà". Pour des tarifs identiques.
L’engouement pour la marque Dacia est assez incroyable. Cette marque qui se voulait low cost et purement utilitaire est devenue particulièrement fédératrice. A tel point que de nombreux passionnés n’hésitent plus à jeter leur dévolu sur
Dimanche dernier, le 30 juin 2013, se déroulait la cinquième édition du Grand Pique-Nique Dacia qui est devenu un rendez-vous incontournable pour la « communauté Dacia ». Nous avons voulu comprendre le succès de ce rendez-vous annuel que les initiés désignent sous l’acronyme GPND. Pour cela, rien de plus simple : nous sommes allés à la rencontre des participants.
Au salon de Genève, la nouvelle Logan MCV joue les nouveautés sur le stand de la marque qui grimpe, la seule à avoir entièrement renouvelé toute sa gamme en trois ans. Ce break Dacia du segment C/M1 se veut très spacieux, techniquement à jour et le plus intéressant, c'est que son prix d'attaque ne bouge pas : 8 990€
De ce côté-ci de la Manche, nous avons vu Dacia s'imposer solidement sur le marché depuis son arrivée en 2004. La sortie de la nouvelle génération de Sandero/Logan constitue, certes, une belle surprise mais cela n'est rien comparé à nos voisins anglais pour qui cette deuxième mouture sera la première à être commercialisée sur l'île. Et lorsqu'on expose l'auto dans une galerie commerciale sans montrer ni sa marque, ni son prix, les réactions sont surprenantes.
La polyvalente la moins chère du marché est de retour avec un seul mot d’ordre : faire mieux pour le même prix. Pari réussi ?
Qui ira dire après ça que les pilotes Red Bull sont traités à égalité ? Quand Sebastian Vettel roule en Infiniti FX50 à plus de 120,000 euros, Mark Webber en est rendu à promener dans le désert en Duster. Et en plus l'Australien aime ça ! À moins que ça ne soit que de la pub ...
Il y a deux ans nous avions déjà visité le Mondial de l’automobile de Paris en compagnie de deux personnalités pouvant nous apporter un éclairage ou particulier ou décalé sur cet événement du monde automobile. Il y a deux ans Pierre-Noël Giraud, économiste et fondateur du CERNA (Centre d’économie d’industrielle de l’école des Mines de Paris), et Daniel Foucard, écrivain, s’étaient prêté au jeu.
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